L'orage
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... aimeras quand tu seras habituée ».
Je suis bien au fond de son cul et mon pubis touche ses fesses, je suis resté immobile un long moment et j'essaie timidement de bouger maintenant. Elle se raidit quand elle sent ma queue se mouvoir, « Haï !! » lance-t-elle pour me prévenir. Je vais lentement, petit à petit je lubrifie son conduit anal et ma queue glisse mieux. Jacqueline est attentive à mes mouvements, il est temps de s'installer mieux, je passe mes mains sous elle et lui saisit les seins que je malaxe en douceur, réveillant son désir. Son corps tout entier se détend et je la surprends même à tendre ses reins en arrière. Je profite de l'occasion pour esquisser de vrais mouvements de va et vient. Elle se laisse aller et ma bite creuse son chemin entre ses reins. C'est plus facile maintenant et je peux pistonner son cul. Le passage est encore bien étroit mais il est praticable. Je vais et viens en cadence et je sens qu'elle commence à éprouver comme du plaisir. Elle est attentive à son corps, étonnée de le voir ainsi s'émotionner à une pénétration contre nature.
Mes mouvements se font plus amples, ma bite glisse dans le conduit anal de plus en plus humide. La mouille lubrifie et la mécanique de chair va et vient plus librement. J'accélère l'allure, madame Lefait s'est remise à geindre en continu, mon ventre vient heurter ses fesses avec violence à chaque entrée de mon membre. Je l'encule tout à fait librement maintenant, mes doigts s'agacent sur ses tétons durs, je sens ...
... ses seins tendus sous mes paumes, elle me tend son cul et part dans un délire de cris et de gémissements inarticulés. Je suis au comble de mon plaisir, je vais une fois encore éjaculer, je sens le sperme qui monte, j'ai de plus en plus de mal à contrôler, ça y est, il vient, je ne peux plus, je ne peux plus, il est là, il faut que je le lâche, je m'enfonce une dernière fois bien à fond dans son rectum et je laisse couler le foutre à longues saccades. Cette fois elle a crié, un long cri de surprise de sentir couler ma liqueur au fond de son ventre. Elle se tord sur lit, j'ai du mal à suivre, j'essaie de l'immobiliser et la sers contre moi, mais elle m'échappe tant est grande sa jouissance.
Je finis par laisser faire Jacqueline, elle se répand sur les draps, anéantie par ce qui vient de se produire. Ma queue échappe à ses fesses, mon gland est violet par le frottement qu'il a subit, il n'est guère propre, couvert de matière fécale. Quand une femme ne s'y est pas préparé s'est un risque à courir.
Je ne veux pas rester ainsi, je me lève et cours vers la salle de bains.
Lorsque je reviens, Jacqueline est toujours en travers du lit, magnifiquement indécente. Elle a les cuisses ouvertes et je peux me rendre juge de l'importance de sa mouille. Une large flaque orne le drap en dessous d'elle et de son ventre à ses cuisses elle est mouillée de sa cyprine. En me voyant revenir, elle lève un regard vers moi « Ah ! voilà le bandit, violeur de dames ! », « Je n'ai violé personne ! ...