L'orage
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... ailleurs ?
Maman, je la retrouve comme je l'ai quitté ce matin, ni plus ni moins. Elle a toujours cet air tendu et inquiet que je lui vois depuis deux ou trois jours. Elle me regarde à peine quand je viens l'embrasser et elle fuit toujours toute sorte d'attouchement.
La vie à la maison commence à être pesante, elle est si enjouée d'habitude, je ne comprends pas son humeur et je décide de lui demander ce qui la tracasse. « Rien, il n'y a rien » me répond-elle avec un pauvre sourire, mais je sens bien que le cœur n'y est pas. « Je vois bien que tu ne vas pas bien ! » lui dis-je, histoire de lui montrer que je ne suis pas dupe. Elle soupire et regarde ailleurs, je n'en tirerai pas davantage ce soir. Quand à une éventuelle soirée de baise, il n'y faut pas compter d'avantage. Je suis triste moi aussi dans mon lit solitaire à me masturber sous les draps. Heureusement madame Lefait alimente mes fantasmes nocturnes et je jouis de longs traits de sperme en repensant à ce qu'elle m'a fait dans la cave. Et puis, mercredi c'est après demain et je me promets un joyeux après midi en sa compagnie.
*
J'ai dit que j'allais rejoindre les copains et je suis sorti. Je commence par descendre pour donner le change. Je vais jusqu'à la cave et je remonte. Dans le couloir du rée de chaussée, je croise les enfants Lefait habillés de culotte courte de bleu sombre, le chandail de même, le béret sur la tête, ils vont à leur camps scout. Je les salue avec un brin d'ironie et remonte ...
... l'escalier sans bruit. J'ai le cœur battant quand je passe devant notre porte et je continue vers l'étage du dessus. Celui qui a dit que le meilleur de l'amour est lorsque l'on monte les escaliers, ne sait pas à quel point il a raison à cet instant.
Lorsque j'arrive sur le palier du dessus, je n'ai même pas besoin de sonner, la porte s'ouvre sans bruit et je vois l'œil de madame Lefait dans l'embrasure. La porte s'ouvre d'avantage et je m'engouffre dans l'appartement. Déjà la porte s'est refermée sur moi et je me retrouve face à elle dans ce couloir sombre. Sans un mot, elle m'a pris dans ses bras et m'embrasse fougueusement en se collant à mon ventre. Je réponds à son baiser et nos langues se mêlent dans nos bouches. Ses mains explorent mon dos quand les miennes font de même de ses épaules à ses reins. Cette femme est complètement hystérique, je sens son corps qui tremble sous mes mains. Elle m'entraîne dans ce que je sais être sa chambre puisqu'elle correspond strictement à notre appartement, et nous nous écroulons sur le lit tout en continuant à nous peloter. Je prends connaissance de ses fesses que je sens bien rebondies, plus que maman. Madame Lefait est plus ronde, sa chair est plus plantureuse, peut être un peu plus molle mais plus abondante. Mes mains ne savent où se poser sur ce corps généreux, je palpe ses seins avec frénésie tout en défaisant les boutons de son corsage. Elle me laisse faire, amusée de ma hâte malhabile, et m'aide à la dégrafer complètement. Son ...