Le jardin de Monsieur François - Histoires de Sexe

Le jardin de Monsieur François

... vu Carlos et Rachel et ils étaient…
— Oui ?
— Ils faisaient l’amour sur la pelouse, juste comme ça, à l’air libre, et Patricia les regardait faire en les encourageant. Je crois…

Elle s’arrêta.

— Ah, oui c’est vrai, ils sont très amis, tous les trois.

Monsieur François se leva pour aller chercher une branche fleurie. Il la tendit à Bérangère qui, par habitude, la porta à son nez et respira profondément.

— Mon jardin peut avoir un effet aphrodisiaque sur les gens et les animaux. N’avez-vous pas remarqué les papillons dans l’air, les demoiselles, les libellules ?

Bérangère hocha la tête.

— Vous ne devez pas vous en inquiéter. Vous savez, c’est naturel, tout comme d’être nu. Maintenant, vous aimez être nue, n’est-ce pas ? Je vois que vous êtes nue et je suis sûr que vous vous sentez bien.

Bérangère hocha la tête.

— Carlos est un bon garçon, un gentil garçon, un grand garçon bien doté par la nature, si je puis dire. C’est aussi ce que vous pensez de lui, n’est-ce pas ?

Bérangère hocha la tête.

— Est-ce que vous aimeriez le connaître plus intimement ? Avez-vous vu Patricia sucer son pénis ?

Bérangère hocha la tête.

— Avez-vous envie d’en faire autant ?

Bérangère respira encore la fleur. Oui, elle aimerait le faire. Elle hocha la tête.

— C’est bon pour les filles de sucer un pénis, c’est naturel, vous ne croyez pas ?

Bérangère hocha la tête.

Monsieur François lui caressa les cheveux et dit :

— Respirez la fleur et fermez les ...

... yeux.

Sa main sur ses cheveux était apaisante, elle aimait ça.

— Est-ce que voir Carlos et Rachel vous a excitée ? Est-ce que voir son pénis vous a fait mouiller ?

Bérangère hocha la tête. En continuant de lui caressant les cheveux, Monsieur François poursuivit :

— Si je caresse vos seins, pourriez-vous penser que c’est Carlos qui vous caresse ?

Bérangère hocha la tête, Oui, ce serait bien.

Monsieur François commença à caresser doucement les côtés de sa poitrine puis remonta vers les globes frémissants. Ses mamelons bruns se gonflèrent et devinrent durs et Bérangère soupira.

— Couchez-vous contre ma poitrine, ouvrez vos jambes et laissez-moi apaiser un peu la tension.

À moitié éveillée, à moitié endormie, perdue dans une brume de sensualité et de plaisir, ses narines pleines de l’odeur enivrante de la fleur orange, Bérangère s’installa contre Monsieur François. Ses genoux furent séparés par les longs doigts qui remontèrent sur ses cuisses et Monsieur François commença à masser doucement le sexe de la jeune fille, à faire courir ses doigts le long de sa fente pour accentuer l’humidité qui en suintait.

Le pénis noueux du vieil homme avait pris de l’ampleur et les veines saillaient tout autour. Malgré des années d’utilisation il ne semblait pas le moins du monde usé, comme on aurait pu penser qu’il le serait chez un homme de son âge. Bien au contraire, il devenait de plus en plus raide et se dressait devant lui comme celui d’adolescent.

Bérangère, les ...