1. Le jardin de Monsieur François


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, grp, hagé, poilu(e)s, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, initiatiq, Partouze / Groupe nature, Auteur: Dardepil, Source: Revebebe

    ... Monsieur François commença à se gonfler, mais il pensa que Bérangère n’était pas encore tout à fait prête pour le spectacle que lui-même offrait. Alors, il s’éclipsa dans une autre partie du jardin.
    
    Le travail était dur dans le marécage, mais après deux heures de labeur, Bérangère fut satisfaite du résultat. Elle frotta la sueur de son front en y laissant une trace boueuse et sortit pour rejoindre le chemin. Elle resta là un moment avec ses bottes et regarda son corps. Elle vit ses cuisses et ses genoux amplement enduits de boue séchée et humide à la fois, et des petits morceaux s’étaient même pris dans ses poils pubiens, de même que des traînées boueuses maculaient son ventre. Ses seins épanouis, ornés par leurs sombres mamelons bruns, étaient presque exempts de saleté, mais de petites perles de sueur glissaient sur la peau lisse. Elle se fit la réflexion qu’elle devait offrir un spectacle peu ragoûtant et peu séduisant. Cela lui sembla une pensée plutôt étrange car elle n’avait pas l’intention de séduire qui que ce soit.
    
    En se dirigeant vers un robinet du jardin, Bérangère passa à côté d’une des statues qui représentait un homme plutôt jeune et beau, mais avec un tout petit pénis. Elle pensa que ce serait agréable d’être avec un garçon nu qui ressemblerait à la statue, de marcher main dans la main avec lui dans le jardin en regardant toutes ses merveilles, mais ce serait mieux si le jeune homme était doté d’une virilité plus imposante que celle de la statue, ...
    ... pourquoi pas comme celle de Carlos. En riant intérieurement de ses pensées coquines, elle ôta ses bottes et entreprit de se laver. Au début, l’eau qui avait chauffé dans les tuyaux était agréable, mais elle devint vite froide et, malgré la chaleur et le soleil qui tapait, elle frissonna et se hâta d’enlever la boue. Ce n’était pas si facile, surtout sans savon, et il fallut un peu de temps avant qu’elle n’y arrive. Elle ferma le robinet et courut à travers la pelouse pendant un petit moment pour égoutter l’eau et se réchauffer. Ses seins libres rebondissaient, mais malheureusement personne n’eut la chance de voir le joli spectacle qu’elle présentait en dansant, courant et tournant autour du robinet, révélant en même temps la motte fournie de son sexe où brillaient encore quelques gouttes d’eau.
    
    Désormais débarrassée des salissures, elle eut envie de laisser le soleil finir de la sécher et la délasser après le travail acharné qu’elle venait de fournir dans la tourbière. Elle s’allongea sur le gazon et ferma les yeux alors que le parfum des fleurs orange lui parvenait. Elle sentit la chaleur des rayons du soleil réchauffer son corps et elle écarta les jambes pour mieux la sentir dans son buisson secret où subsistaient encore quelques gouttes. Un peu somnolente, elle s’étira en soupirant de bien-être et finit par s’enfoncer dans un sommeil réparateur.
    
    Elle était dans une partie isolée du jardin et ce fut Carlos et non Monsieur François qui la découvrit endormie, allongée sur la ...
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