1. L'ombre du Passé Ch. 08


    Datte: 15/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Coulybaca (Texte personnel)
    
    Chapitre 8 : le recrutement de nouvelles gagneuses.
    
    Attablé devant un verre de whisky, Ali faisait le point en compagnie de son frère et de ses sbires .
    
    Cela faisait maintenant un mois qu'il avait lancé l'opération, aux dix pre-mières femelles, étaient venues s'ajouter six autres gagneuses, tout au-tant disponibles :
    
    _ Une seconde Arlette, Arlette Dumas, son mari commissaire principale de police, à qui elle n'avait jamais avoué sa faute, ne devait jamais la connaître, aussi se pliait-elle aux injonctions d'Ali avec autant de bonne volonté que ses consœurs. Belle blonde sophistiquée, on lui aurait donné le bon dieu sans confession ; en fait elle se révélait ardente, chaude au lit, elle n'avait eu aucun besoin de formation complémentaire, que ce soit en bouche, en con ou en cul, ses dispositions naturelles lui permettaient d'épuiser le mâle le plus exigeant dans un minimum de temps.
    
    Déjà elle s'était faite une clientèle particulière qui adorait couvrir cette belle femelle, jusqu'ici irréprochable, la couvrant de sperme, lui faisant prendre les positions les plus ignobles, contrastant fort avec son air in-génu.
    
    _ Pour Isabelle Fournier, la femme du premier adjoint, commerçant en gros et Nicole Dulac, l'épouse d'un agent général d'assurances, le piège s'était refermé sur elle d'une toute autre façon.
    
    Instruit par Aurore Lepan, de la tendre amitiè qui unissait les deux femmes, Ali soupçonna vite plus qu'un attachement amicale, ...
    ... après plusieurs jours d'espionnage, il découvrit le petit nid qui abritait leurs amours, à une vingtaine de kilomètres de Moulins.
    
    S'en ouvrant à Solange et Clothilde, il apprit qu'elles ne pouvaient voir leurs amours étalés au grand public sans risquer le divorce, la mise au ban de la société Moulinoise, ce que dans leurs positions, elles ne pourraient supporter.
    
    Bientôt le guet-apens fut prêt, le propriétaire du petit hôtel, contre la promesse, de s'envoyer à satiété les deux salopes, permit à Ali et Mohamed de remplacer un immense miroir au mur de la chambre qu'elles retenaient à chacune de leur visite, par une glace sans tain, permettant d'observer, de photographier de la piÈce voisine.
    
    Il poussa la complaisance jusqu'à prévenir Ali, dès leur prochain rendez-vous. Confortablement installés, Ali et Mohamed prirent deux pellicules de leurs ébats intimes.
    
    Ali aimait particuliÈrement un cliché, sur lequel on voyait la brune Nicole fesser de sa mule la plantureuse croupe de sa blonde amie, la photographie en couleur soulignait la rougeur du large fessier, démontrant amplement la cruauté du jeu.
    
    Il ne dédaignait pas pour autant d'autres photos, ou elles se grouinaient avec entrain, tête bêche, se suçant mutuellement le clitoris, honorant leurs anus d'une langue curieuse, ou s'empalant sur des postiches doubles comblant leur deux intimités simultanément.
    
    Celle qu'il leur avait envoyée les représentait intègrement nues, allongées l'une sur l'autre tête bêche, ...
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