Maman, une merveilleuse amante et formatrice (1)
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... Chacun dans leur chambre, Isabelle et Alain font leur sac.
— Mes enfants, j’ai une surprise !
— Patricia, quoi, elle vient avec nous ?
— Oui, jusqu’à lundi soir.
Alain n’y tient plus, ses mains sous la jupe de Patricia, il la soulève et l’embrasse à pleine bouche devant sa mère.
— Excusez-nous Madame, je...
— Ne t’excuse de rien ma chérie. Il s’est passé des choses depuis l’anniversaire d’Isabelle. Tu comprendras tout au chalet. Allez, on se presse, le car n’attendra pas.
En toute hâte, le quatuor se presse. Il arrive pile au moment où le car postal s’arrête. Le temps de monter, de prendre les billets et le voilà qui roule déjà sur cette petite route étroite de montagne. Virage après virage, le paysage change, mue en fonction de l’altitude. Sur une place d’évitement, le car postal s’arrête. Le quatuor en descend. Une main pointe la montagne, on y aperçoit le chalet.
Sur un petit sentier escarpé, Patricia peine à monter, ses petites chaussures de ville ne se prête pas. Alain l’aide en portant son sac de voyage, il est aussi peu pratique que les chaussures de Patricia. Après une petite heure de marche, la porte de chalet révèle son mobilier rustique à Patricia. Isabelle et sa mère dépose leurs sacs, en sortent la réserve de nourriture. Alain monte à l’étage, dans l’unique chambre qui ressemble plus à un dortoir qu’à autre chose. Il sort des draps, des couvertures de vieux futs en plastique. Il les aère avec l’aide de Patricia. En bas, mère et fille ...
... allègent leur tenue. Il est temps de dévoiler ce changement à Patricia. En haut, dans l’effort, Alain couche sa Patricia. De gestes aussi doux que tendres, il l’aime, baisant son corps de sa bouche tout en la dénudant. Celle-ci se montre réticente au début. Mais les attouchements précis de son amant lui font oublier toute pudeur et son corps ondule déjà sous le joug d’Alain.
Nues, en bas, deux femmes s’embrassent, se caressent en sachant déjà ce qui se passe en haut. Quand Patricia jouit une première fois de manière sonore, les deux femmes montent lentement, s’embrassant et se caressant encore et encore. Dans l’embrasure de la porte, Patricia les découvre nues. Elle veut cacher son corps, une mère l’en empêche en posant ses lèvres sur le sein juvénile de Patricia.
— Je sais tout ma chérie. Ne me crains pas, mes enfants sont les meilleurs amants que toi et moi puissions rêver.
Ces paroles, cette douce voix ont tôt fait de mettre à bas les dernières barrières de Patricia. Sa forteresse à terre, elle subit les assauts de son amant qui la possède, les mains et les bouches d’une mère et sa fille. Très vite Patricia est submergée par une onde merveilleuse qui se promène dans son corps. Très vite, elle répond à ses amants. Très vite, les corps s’entremêlent, jouissent, hurlent de bonheur. Très vite, les corps s’épuisent et pourtant, il en est un qui veut entendre jouir ses maîtresses. Dans le corps de sa mère, Alain se donne. Sur le corps maternel, Isabelle lèche, baise, ...