Sonia
Datte: 14/07/2020,
Catégories:
fhh,
fête,
pénétratio,
fsodo,
couple+h,
Auteur: Pedennas, Source: Revebebe
Sonia était belle, avait une taille mince, des seins généreux, mais fermes, qui aimaient être effleurés, pelotés, sucés, et un ventre de bonne fille, accueillant, très accueillant même ; peu avare de ses charmes, elle aimait beaucoup, passionnément, donner et prendre du plaisir… Elle vivait avec Sam dans un village de la France profonde où ils louaient une petite maison, confortable, accueillante.
Au 14 juillet, ils avaient décidé d’aller au bal du village retrouver une bande d’amis. La fête populaire battait son plein, Sonia et Sam s’amusaient comme des fous.
Enfin… Sam, pas complètement. Parce dans le groupe de leurs amis, il voyait que sa chérie parlait beaucoup avec Clovis, un ancien amant. Délaissant quelque peu les autres fêtards, les deux riaient beaucoup, et Sam voyait arriver le moment où ils se retireraient dans un champ pour que leurs corps « reprennent contact ». Et ça l’énervait… Quoique… Jadis, quand Sonia, le rouge au front, avait fini par lui raconter, en détail, les turpitudes auxquelles Clovis et elle s’étaient livrés, il avait été tout remué, et puis… sa jalousie avait été reléguée au second plan par l’excitation, et la séance de baise qui avait suivi les avait régalés !
Les retrouvailles de Sonia et de Clovis le troublaient. Allaient-ils se séparer bons amis ou allaient-ils remettre « ça » ? Sam annonça à ses amis qu’il était fatigué et qu’il allait se coucher, tout en épiant les deux anciens amants du coin de l’œil. Sonia éveilla ses ...
... soupçons en lui promettant de rentrer, dès sa conversation terminée.
Bientôt ou plus tard ? Après… ?
Sonia s’aperçut que Clovis, tout en ne cessant de lui parler, la regardait avec insistance, manifestement très intéressé par les mouvements de ses seins, libres sous une robe légère, et qu’il matait ses cuisses, fermes et toniques. Moins jeune que Sam, il était également moins grand, et moins beau aussi. Mais il se dégageait de son corps robuste, de son visage, quelque chose de brut, de sauvage, qui l’avait troublée, et la troublait encore. De plus, son regard lui signifiait sans détour qu’il la désirait encore.
Clovis, feignant craindre qu’elle puisse s’ennuyer, invita Sonia à danser. Il était un bon danseur qu’elle suivit avec entrain et confiance. Il plaqua son ventre contre celui de la jeune femme, et elle en vint à se demander, moderne Mae West, s’il avait dans la poche une arme (de poing ?) ou s’il était tout simplement très content de danser avec elle… En tout cas, dans son souvenir, son arme était d’un calibre respectable !
Chauffé, excité, Clovis proposa à Sonia de sortir prendre l’air, proposition qu’elle accepta avec empressement. Ils marchèrent côte à côte dans le village ; les mains de Clovis partaient à l’aventure pour frôler, toucher, la taille et les fesses de Sonia. Quand Sonia lui dit qu’elle se sentait bien à marcher avec lui, Clovis, ne se sentant plus de joie, poussa la jeune femme dans le recoin d’une porte complaisante, la prit dans ses bras et ...