1. Marie, cougar catéchiste


    Datte: 12/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou Masturbation BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... fauve a empli la salle. Il m’a fallu penser à ouvrir les fenêtres pour aérer, après.
    
    Ils croyaient que j’allais leur demander de se masturber ainsi. J’aurais pu, mais j’avais prévu un tout autre programme. Je leur ai attaché les poignets et les chevilles avec de la corde, puis je leur ai bandé les yeux. Ils se sont docilement laissé faire, tout en confiance.
    
    Ensuite, j’ai tiré le rideau du fond, et une autre femme qui se trouvait cachée là depuis le début de la séance est venue me rejoindre. Ensemble, nous nous sommes déshabillées, puis embrassées bouche à bouche, parce que nous sommes amantes.
    
    J’ai branché la sono, avec des cantiques bien rythmés, du genre de ceux qui plaisent aux jeunes dans les camps où l’on chante sa foi devant le feu, avec une guitare. Nous nous sommes rapidement déshabillées, puis je me suis assise sur le sexe dressé de Donatien, tandis que l’autre femme a fait de même sur celui de Rogatien. Nous avons toutes deux tortillé notre bassin, entrant et sortant les mandrins de nos vagins, au rythme de la musique. Je me suis aussi inséré la tige virile dans me petit trou arrière ; elle aussi. ...
    ... Elle était encore plus excitée que moi et embrassait sur la bouche, très goulûment, le garçon qui se trouvait en face d’elle, en l’attrapant par les cheveux. Puis nous avons échangé de partenaire, avant l’éjaculation que vous avons recueillies dans nos bouches, à peu près en même temps. J’en ai avalé la plus grande partie et j’ai trouvé cela délicieux.
    
    Comme nos pénitents étaient jeunes et très vigoureux, il nous a suffi de les sucer une minute ou deux pour qu’ils bandent encore. Nous nous sommes empalées sur les zguègues érectiles, bien à fond, côté anal, en actionnant nos sphincters pour bien les stimuler. Enfin, nous avons retiré les bandeaux. Ils étaient sidérés, surtout Donatien, à cause de la femme nue qui était assise sur ses genoux et qu’il était en train d’enculer jusqu’au fond des boyaux. Les larmes aux yeux, ils ont crié en cœur :
    
    — Maman !
    
    Comme les deux chaises se trouvaient l’une près de l’autre, j’ai pu embrasser mon amante à pleine bouche d’où du sperme débordait encore en longs filets veloutés qui nous tombaient sur les seins, pendant que la mère pinçait vicieusement les tétons de son fils. 
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