Pute D'un Soir
Datte: 12/07/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: byPhilippe C de Harles, Source: Literotica
... tasse de coté pour qu’elle puisse voir ce qui se passe. Elle semble toute surprise et elle est de plus en plus enthousiaste en voyant les quatre billets de cents dollars que Marco garoche sur le lit.
Le copain de Marco me fait signer d'enlever ma robe.
Je lui fais signe d'allonger les billets, lui-aussi. Lorsqu'il les lance sur le lit, ma compagne n'en revient pas de voir toute cette argent. Je lui dis de se servir dans le tas. La jeune femme rit à tue-tête. S'es-tu vraiment à nous deux toute cette argent. Chérie, nous sommes des femmes d'affaires. Et, comme je disais cet après-midi durant ma conférence, nous les femmes, il nous faut apprendre à savoir profiter de toutes les opportunités. La jeune femme en pleure de joie en faisant signe à son mari de sortir son porte-feuille, lui-aussi. Il hésite quelques secondes. Elle lui dit: Chéri, déniaises-toi pour une fois, si tu veux participé? Mon chéri. Je vous veux tous les trois. Ce soir, je serais ta pute et pour toi aussi, mon chéri, ce sera le même service et le même tarif pour que pour ces deux messieurs.
Lorsqu’il se décide enfin à allonger la monnaie, je m’avance à quatre pattes entre les cuisses de la jeune dame. En la regardant dans les yeux, je lui caresse le haut des cuisses du bout des doigts. La garce ouvre encore plus les jambes et elle frotte sa main sur ses jeans en caressant sa chatte au travers du tissus. J’entends de savoureux commentaires sur mon cul pendant que je m’avance pour la tripoter comme une ...
... belle salope. Je me rapproche le visage, lui bécote l’entre jambe et lui lèche l’intérieur des cuisses du bout de la langue, la petite garce. Et, lorsque je commence à sentir l’odeur si aphrodisiaque de son sexe, je me frotte le nez sur son jeans à la hauteur de sa petite chatte qui me rend folle de désir.
Le mari leur dit: Moi, c’est François et ma compagne, c’est Mireille, et, elle a toujours fantasmé d’être l’objet de désir d’un groupe de voyeurs. Mireille en mouillait seulement de s’imaginer ça.
Je lui mordille l’entre cuisse, la belle Mireille. Je lui lèche la touffe à même son jeans. La petite vicieuse me récompense par l’odeur de son jus de plotte qui mouille sa chatte de plus en plus. Elle bouge comme une couleuvre la salope et elle en gigote tout un coup tout le temps que ma langue et mes lèvres lui frôlent et lui caressent l’entre cuisse. Ma main se glisse sous le tissus et un doigt plonge directement en sa chatte.
La belle enfant qui n’a pas plus que vingt deux ou vingt trois ans, réagit comme si elle était frappée d’une décharge électrique. Ses deux mains m’empoignent par les cheveux et elles me retirent la tête de son sexe. Mireille me lève la tête sans ménagement. La belle enfant semble si paniquée et elle me dit larmes à l’oeil: Non, non., je ne suis pas ce genre-là.
Je lui appuie un doigt sur les lèvres pour la faire taire. Quoi?, quoi?. Qu’est-ce qui se passe dans ta petite tête. Aie!, réveille ma grande! Nous sommes payer et très bien payer pour ...