1. Le dessert (1)


    Datte: 12/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Swingme, Source: Xstory

    Pour fêter notre anniversaire, dans ce restaurant gastronomique, tu m’avais gâté : apprêtée comme rarement, tu étais sublime dans ta robe noire fluide qui tombait sur tes formes à croquer. Elle masquait subtilement ta poitrine que je savais libre dessous, et dévoilait une partie de tes cuisses galbées. Tes cheveux tombaient en cascade dans ton dos partiellement nu, et portaient ton parfum que j’aimais tant. Les plats défilaient, raffinés et novateurs, et enchantaient nos papilles. Nous caressant du bout des doigts, nous savourions ce moment parfait.
    
    Ton petit manège ne m’avait pas échappé, et m’amusait follement : à chaque passage d’un certain serveur, ton regard fuyait et tu le détaillais de pied en cap, gourmande. Il était grand et élancé, moulé dans sa chemise noire, et il faut bien avouer que son pantalon lui faisait un cul sûrement très appétissant pour une demoiselle. Je te sentais excitée, te voyais te tortiller sur ta chaise, imaginant je ne sais quoi.
    
    Le plan avait germé dans ma tête tout au long du repas, et après la commande du dessert, j’étais prêt.
    
    — Il te plaît hein ?
    
    . A la fois coquine et rougissante,
    
    — Ui…
    
    Je caressai de manière un peu plus appuyée ta main, te souris, malicieux, et appelai ledit serveur. Tu me fusillas du regard, soudain alarmée. Je me levai à son arrivée, et te tournai le dos, lui te faisant face. Je lui glissai quelques mots, il te jeta un regard par-dessus mon épaule. Tu ne savais plus où te mettre. Il acquiesça, et ...
    ... s’en fut. Je me rassis, histoire de te faire mariner un peu.
    
    — Qu’est-ce que tu lui as dit ?
    
    . Silence.
    
    — Tu lui as quand même pas dit qu’il me plaisait ! Hein ?!
    
    Nouveau silence. Je quittai enfin ma chaise, sans te laisser le choix, pris ta main, et t’enjoignis de me suivre. Nous traversâmes la salle, descendîmes à l’étage inférieur. Les toilettes étaient spacieuses, dominées de marbre, très classes, et manifestement désertes. Je choisis la dernière cabine et t’y poussai. Sans te laisser le temps de respirer, je plaquai ton buste contre la paroi et me collai à toi. Je retroussai ta robe, dégageant tes fesses. Je plongeai sans attendre dans ta culotte, et pris à pleine main ta vulve, trempée comme il se doit. Ton appréhension passagère avait laissé place à l’excitation qui te rongeait depuis le début du repas, et le désir lâchait la bonde.
    
    — Alors comme ça, tu as envie de lui ? te glissai-je à l’oreille, faussement jaloux.
    
    Je te pénétrai sans ménagement de trois doigts, et tu gémis de plaisir. J’écrasai mon pubis contre tes fesses, dévoilant une érection conforme à tes attentes. De mon autre main, je caressai l’intérieur de tes cuisses, te rendant folle d’impatience, immobilisée et impuissante contre le mur. Tu parvins à dégager un bras, et de la main tu fouillas mon jean, trouvas une cuisse, remontas, et enfin frottas ta paume contre mon sexe dressé. Je t’abandonnai un instant pour arracher ma ceinture et me libérer de mon carcan, puis agrippai ton ventre, ...
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