Plaisir personnel... ou presque - Histoires de Sexe

Plaisir personnel... ou presque

... couilles pour une caresse très légère, qui se prolongeait sur l’intérieur de mes cuisses. En connaisseuse, tu appréciais l’énergie qui se dégageait de mon vit tendu. En bénéficiaire habituellement unique de ce spectacle, tu en mesurais tout l’impact qu’il provoquait chez ta collègue. D’ailleurs, tu paraissais apprécier autant que moi ses longs gémissements. Loin d’être troublée, tu passais une main attendrie dans ses cheveux, assise à côté d’elle, sans la distraire dans son chemin vers un orgasme évident.

Nos regards se croisèrent. Tes yeux me disaient tout le désir que tu pouvais ressentir dans cet échange. Et, ta main sur mes couilles, tu m’attiras vers ta bouche. Tu vins y mettre mon sexe plein d’amour pour toi. Ta langue chaude vint littéralement s’enrouler autour, comme pour apaiser ce feu intense que tu percevais en moi à ce moment, laissant à Fabienne le temps de me rejoindre.

Celle-ci, haletante, te lançant comme une supplique :

— Oh oui…. Suce-le ! Vous êtes beaux à voir… Ça me rend folle ! Mais ne le fais pas jouir ! Je veux voir ça.

De fait, ta fellation se fit d’autant plus lente, d’autant plus profonde. Tu léchas toute ma verge, tu mordillais mes couilles, comme pour me remercier de m’être plié à ton jeu et ton désir. Puis tu me libéras, la bite brillante de salive :

— Vas-y ! Ne la fais pas attendre plus longtemps. Je sens que tu en as envie…

Je me retournais vers Fabienne, dont le regard trouble me montrait qu’elle était elle-même au bord de la jouissance. Je repris mon mouvement, cette fois amplement, puissamment. Je sentis monter cette vague.

Et vint alors ce premier jet libérateur. J’éjaculai… en longs jets chauds. Je recouvris le pull de Fabienne d’une importante quantité de sperme, dans un râle sans équivoque sur l’intensité de mon plaisir.

Elle-même ferma les yeux et laissa libre court à son orgasme, blottie dans tes bras.