1. Bénédict...ions (7)


    Datte: 11/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: deepysex, Source: Xstory

    J’étais donc convoquée dans le bureau de mon supérieur et j’imaginais déjà ce qu’il voulait : sa gorge profonde de la semaine... Ou alors m’enfoncer une vingtaine de stylos dans la chatte comme il l’avait fait une fois. Il avait adoré ce jeu, pas moi, mais alors pas du tout. Vraiment pas agréable de sentir mes lèvres s’écarter petit à petit, a chaque insertion, les uns après les autres par ces trucs pointus et durs, tout en me faisant traiter de pute, de chienne, de traînée, de vide couille à utiliser... J’aime pourtant les mots crus quand je suis excitée, surtout lorsqu’ils sont plusieurs à s’occuper de moi, mais là, je n’avais vraiment pas aimé... Il s’était branlé de son autre main, avait spermé sur son bureau et m’avait fait tout lécher, prétextant que son bureau devait être propre.
    
    Je stressais un peu à l’idée qu’il ait encore inventé un jeu à la con pour m’humilier. J’avais déjà rempli ma bouche de salive pour l’inciter à se contenter d’une pipe bien baveuse. À ma grande surprise, sa bite resta dans son pantalon et les stylos à leur place. Je me demandais quelle saloperie sexuelle il allait encore m’imposer, quand il déclara qu’il avait intercédé en ma faveur auprès de Monsieur Noël, le PDG, pour que je puisse avoir un véritable contrat.
    
    J’étais attendu dans le bureau du directeur dans la minute.
    
    Interloquée et impressionnée, j’ai repris la porte pour m’y rendre au plus vite et ne pas me faire attendre. Monsieur Schmid me précisa en sortant qu’il avait ...
    ... beaucoup insisté sur mes qualités personnelles...
    
    Je ne tarderais pas à comprendre qu’il parlait surtout de ces qualités qui m’avaient permises de rentrer dans la société et pas de mes résultats de travail.
    
    C’est donc dans un état second, et tremblante que j’ai toqué à la porte du bureau de Monsieur Noël, qui m’a fait rentrer dans la seconde.
    
    C’était un homme d’une bonne soixantaine, dont la réussite pesait sur le bas-ventre. Toujours très souriant pour un patron, il n’était pourtant vraiment pas séduisant. Il me dit en quelques mots qu’il envisageait de me proposer un CDI et qu’avant de prendre sa décision, il souhaitait me connaître et m’a donné rendez-vous chez lui ce jeudi soir pour dîner avec sa femme et lui-même.
    
    Il ajouta que mes compétences avaient été mises en avant par mon supérieur et qu’il voulait s’en assurer ; ça ne laissait plus tellement de doutes quant aux raisons qui poussaient ce type à vouloir m’embaucher...
    
    J’arrivais le jeudi à l’heure, dans une robe sage, petits talons discrets, car je ne voulais rien mettre de trop provocant. J’avais même mis un string qui me serrait un peu trop d’ailleurs, je n’avais vraiment pas l’habitude d’étouffer ma petite minette. Rester élégante me semblait important tout de même, notamment vis-à-vis du regard de sa femme ; nous savons tous qu’au final, ce sont les femmes qui décident... et je voulais faire bonne impression.
    
    La soirée se déroula ainsi :
    
    La porte s’ouvre et laisse apparaître ce gros bonhomme, en ...
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