1. Marie amoureuse, on ne la tient plus


    Datte: 11/07/2020, Catégories: fhh, fplusag, extracon, cocus, grossexe, parking, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral fgode, pénétratio, double, fdanus, totalsexe, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... qu’elle avait mal au cul, enfin on était dans le vulgaire, le gras.
    
    J’ai fini par m’emmerder. Je ne voyais pas quoi lui demander de plus. Cette vie que j’avais voulue ne me plaisait plus tellement. J’en venais à regretter l’avant. L’avant, c’est quand je n’avais pas ces drôles d’idées, que je baisais ma femme régulièrement, et que je faisais la gueule quand elle refusait. L’avant, c’est quand de temps en temps, j’allais voir une professionnelle pour me faire sucer puisque je n’osais pas demander à Marie. Ou pour pouvoir dire des mots crus que Marie ne supportait pas. Je pouvais user et abuser des phrases qu’on entend dans les films hard.« J’aime ton gros cul salope, écarte tes miches, je vais te baiser comme une chienne, etc. ». L’avant c’est quand nous pouvions rester des heures à ne rien faire tous les deux au bord de la piscine, ou aller nous promener en ville. Cet avant me manquait un peu. Mais comment faire aujourd’hui ? Cette vie est terminée. Marie en aime un autre, et cet autre la baise mieux que moi. Il se permet même d’inviter des potes et Marie accepte volontiers. Moi je lui ai offert de baiser devant moi. Son Kamel lui offre un mec en plus de lui. Je ne peux pas lutter.
    
    J’ai profité des vacances pour parler à Marie de mes doutes, du futur de notre couple, de notre avenir, commun ou pas. Elle a reconnu que ce type de vie est très particulier, que ça ne peut pas fonctionner très longtemps, et qu’il faudra bien qu’on fasse un choix. J’ai respiré, pris Marie ...
    ... dans mes bras, et je l’ai conduite dans la chambre de l’hôtel, sans rien dire. Je l’ai déshabillée, caressée, embrassée tendrement. Je lui ai fait l’amour comme on fait l’amour à une honnête femme. J’ai pris mon temps. Nous étions seuls, amoureux. Marie mouillait abondamment, gémissait, me disait des mots doux. Nous avons joui ensemble. C’était bon. J’avais oublié cette sensation extraordinaire.
    
    Nous sommes restés enlacés, à nous caresser, sans un mot. Puis Marie m’a regardé dans les yeux, et m’a demandé :
    
    — Veux-tu que je te choisisse ?
    
    0ooo000ooo0
    
    Au retour nous avons repris notre petite vie pépère. Marie a appelé Kamel pour lui signifier que c’était terminé, qu’il n’essaie plus de la contacter, qu’elle aimait son mari et qu’elle entendait dorénavant lui rester fidèle.
    
    J’ai fait un grand « ouf ». Et tout est redevenu comme avant. Sans éclat, sans fantaisie, sans écarts. Mais ça m’allait bien. Je pouvais à nouveau me regarder dans le miroir.
    
    Plus de six mois plus tard, alors que nous poursuivions notre petite redevenue « normale », Marie est sortie avec ses copines, comme elle avait coutume de le faire.
    
    Elle n’est rentrée qu’en fin de matinée. Je m’étais fait un sang d’encre. Plusieurs fois j’avais essayé de l’avoir au téléphone, à partir de huit heures le matin, mais ça sonnait dans le vide. Lorsqu’elle est arrivée, enfin, je lui ai trouvé une mine bizarre. Ses explications, sans tentative de me raconter des salades, ont été assez claires.
    
    Kamel était ...