1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Veuve (1/1)


    Datte: 20/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... bourgeoisie niçoise ayant refusé de faire son service comme officier a retrouvé l'étude notariée de son père où il venait de prendre sa suite il y a quelques mois.
    
    Une fois ma sœur partie, la chaleur de ce jour de canicule aidant, je vais prendre un bain presque froid.
    
    Je viens d’en sortir quand on sonne à la porte.
    
    Je passe mon peignoir d’été, peignoir trois quarts et je vais ouvrir, persuadée que c’est Sandra qui revient ayant oublié quelque chose.
    
    - Re-bonjour madame Jennifer, je m’excuse de vous déranger, mais quand vous avez quitté le funérarium, vous avez oublié sur le banc votre foulard en soie que vous aviez quand vous êtes arrivée.
    
    Je me permets de vous le rapporter, j’habite à deux pâtés de maisons d’ici.
    
    - Vous êtes bien aimable, Louis, je me souviens du prénom que vous aviez sur le badge sur votre veste.
    
    - Oui, ma veste est dans le fourgon, il fait si chaud que je me suis permis de l’ôter avant de venir vous rapporter votre foulard.
    
    À ce moment, il fléchit légèrement sur ses jambes.
    
    - Que vous arrive-t-il, vous avez un malaise, entrer, venez-vous asseoir, je vais vous apporter un verre d’eau.
    
    Assis dans mon canapé endroit le plus près où il puisse s’asseoir, je vais lui chercher un verre d’eau fraîche qu’il boit.
    
    Je me pose à ses côtés lui montrant mes genoux sans à aucun moment pensée à mal et à l’insolite de la situation.
    
    Pierre est devant moi à deux mètres et je montre mes genoux à ce jeune inconnu.
    
    - Ouf ça va mieux, ...
    ... j’ai eu un malaise à cause du soleil.
    
    Vous ne buvez pas, vous semblez prête à pleurer !
    
    - Vous venez de brûler mon mari et je ne sais pas ce que l’avenir me réserve.
    
    - Jennifer permet que je t’appelle par ton joli prénom.
    
    Quand on tombe de la branche d’un arbre, il faut tout de suite remonter sur la branche de cet arbre, sinon on a peur d’y remonter tout au long de sa vie.
    
    - De quel arbre parles-tu ?
    
    Sans m’en rendre compte, je viens de le tutoyer.
    
    - Celui-ci !
    
    Avant que je n’aie le temps de m’offusquer, il ouvre sa braguette, en sort un sexe plus imposant que celui de mon défunt mari.
    
    - Pose ta main sur ma branche, regarde comme elle est solide.
    
    Il me prend la main qui retrouve la texture de sa verge.
    
    Alors que je le masturbe doucement il écarte les pans de mon peignoir et me caresse les seins.
    
    J’ai toujours aimé qu’il s’occupe de mes seins.
    
    Aussi quand Louis me prend derrière la tête pour me guider vers sa verge, c’est sans aucun recule de mon corps que ma bouche s’ouvre pour lui faire une fellation.
    
    Je prends conscience que je suce un garçon, certes de mon âge, alors que les cendres de Pierre sont encore chaudes.
    
    C’est toute pudeur et sentiment de honte bu que j’écarte mes cuisses et que son sexe entre en moi.
    
    Je suis prise là comme une chienne en chaleur en oubliant de pleurer.
    
    Nous finissons dans ma chambre, après avoir baisé devant lui, c’est dans son lit que nous remettons le couvert deux fois, non, trois fois et surtout ...