1. La fille au pair


    Datte: 12/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... déjà écrite, peut-être déjà répétée lors de rencontres précédentes. Ivar attire la femelle à lui. Elle est maintenant totalement allongée sur son amant, libérant ainsi au mari un chemin qu’il connaît déjà et souvent utilisé sous les yeux de Chloé.
    
    Il se place, cherchant la bonne position dans l’enchevêtrement des jambes des deux partenaires. Il trouve, guide sa queue vers la voie choisie, se place, pousse, pousse, et à son regard on comprend qu’il est déjà entré. Son regard n’est que la partie muette de la partition que sa femme, possédée par un amant, enculée par son mari, décide de jouer.
    
    Soprano, mezzo, alto. Quelle gamme dans une seule gorge ! La femme ne cesse de gémir, crier, supplier, encourager, alors que son mari lui défonce le cul, qu’elle se tortille avec ses deux chevilles qui la tiennent prisonnière, que son amant la…
    
    — Tu vois comme c’est bon ! Tu as déjà essayé ?
    
    Un "non" de la tête est tout ce qu’on peut tirer d’elle.
    
    — C’est deux fois plus fort qu’avec une seule. Ça t’excite, hein ? Tu ne dis rien ! Mais ton corps parle à ta place.
    
    Chloé ne répond pas. Elle vient seulement de se rendre compte que les mains de la femme ont quitté ses épaules et qu’elle la caresse, si délicatement qu’elle pensait à la brise du large. Mais c’est bien une paume de main qui effleure un téton, et que dire de celle qui ne peut se cacher alors qu’elle se plaque contre sa fente ?
    
    — Tu mouilles, coquine. Je le savais !
    
    — S’il vous plaît ! Non !
    
    Mais la voix ...
    ... est si faible et aucun mouvement de refus ne l’accompagne, la femme ne stoppe pas son exploration. Bien vite les doigts de cette main plaquée sur la chatte s’aventurent. Bien vite, guidé par une femme, ils découvrent ces lieux secrets et leur gardien.
    
    Chloé ne se refuse pas. Elle a sous les yeux cette scène démente où deux hommes et une femme expriment tout leur plaisir et leur jouissance. Et elle, tout contre elle, un corps de femme parfaitement moulé au sien avec ces mains qui la caressent et qui bien vite, trop vite même, la conduisent au plaisir.
    
    Là-bas, le trio explose de plaisir. Elle imagine toutes ces liqueurs se répandre dans la belle Jessica et ne doute pas qu’elles se mélangent aux sucs féminins. Ses sucs à elle, ce sont les doigts d’Ingrid qui les provoquent. C’est bon. C’est bon… Mais bien vite Chloé reprend ses esprits. C’est terrible ce qu’elle vient de faire, ce qu’elle vient d’accepter. Déjà elle veut fuir avant que le trio qui se défait ne les découvre. Elle se détache avec regret de ce corps si doux. Elle va partir, mais…
    
    — S’il vous plaît, n’en parlez pas.
    
    Elle se doute bien que c’est beaucoup demander à cette femme qu’elle ne connaît que depuis quelques heures. Pourtant Ingrid lui répond :
    
    — Ne t’inquiète pas, petite fleur française. Ce sera notre secret. Je n’en parlerai pas. Pas un mot, sauf si…
    
    — Sauf quoi ? demande, soudain inquiète, Chloé.
    
    — Sauf si tu me demandes de le dire ou que toi tu l’avoues.
    
    « Le dire ? L’avouer moi-même ...
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