1. La fille au pair


    Datte: 12/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... vis-à-vis d’eux, pas seulement en âge mais aussi en expérience – ces quatre adultes, donc, peuvent bien faire ce qu’ils veulent d’elle. Elle en a envie, et cette bouche qui caresse son minou déclenche déjà des ondes de plaisir. Ingrid l’avait léchée, Jessica la caresse. Elle s’ouvre à elle. Sa langue rampe dans sa fente et plonge avant de revenir pour jouer avec son bouton. Chloé gémit de ces jeux de femmes. Ingrid aussi joue avec elle, lui caressant les seins, l’embrassant avec fougue comme si elle aussi voulait sa part.
    
    Deux ombres apparaissent. Les deux hommes se sont rapprochés. Eux aussi sont nus, et cette nudité est d’autant marquée qu’ils montrent une belle érection. Chloé connaît déjà "bibliquement" la bite d’Ivar ; celle de Jack n’est que virtuelle, même si elle l’a vue tant et tant de fois apporter la jouissance à celle qui la lèche.
    
    Elle sait. Oh que oui, elle sait maintenant que la soirée ne se terminera pas sans que l’une et l’autre ne l’aient possédée. Mais cette vision lui est cachée par Ingrid qui vient se placer sur elle.
    
    Elle est aveuglée par une chatte humide, déjà humide, impatiente de se faire câliner. Elle étouffe, mais c’est si bon de partager ce plaisir qu’on lui accorde ! Mais elle ne jouit pas seulement des caresses reçues ; les caresses données participent à son plaisir.
    
    Elle coule, elle coule, c’est sûr. Une langue recueille son jus. Une langue différente. Une langue qui s’aventure plus bas alors que ses cuisses sont écartées. Son ...
    ... sillon, son anus. Cette langue joue avec son petit trou. Elle revoit le ciel étoilé. Ingrid est partie et elle découvre que cette langue, c’est celle de Jack. Un Jack quasiment allongé pour pouvoir atteindre son plus intime, cette fleur encore fermée mais que des caresses entrouvrent.
    
    C’est bon…
    
    Et puis Jack se relève ; elle a à peine le temps de voir sa belle queue qu’il vient l’embrocher avec. Elle le voit comme jamais elle ne l’avait vu. Il sourit, de ce sourire un peu niais qui marque son envie, cette envie qu’elle sait retenue depuis si longtemps.
    
    Mais pourquoi est-ce si bon ? Ce n’est pas la première bite qui la possède. Jack n’est pas si beau, en tout cas pas un homme sur lequel on peut fantasmer. Ivar, peut-être. Lui a un charme nordique, un Odin moderne. Mais pas son patron. Et pourtant sa bite provoque déjà du plaisir. Elle qui avait tant de difficulté avec les hommes. Déjà hier, sur le bateau…
    
    Jack la ramone déjà. Les autres la regardent. Elle sent sur elle le poids de leurs attentes, de leurs envies, de leurs fantasmes. Elle comprend. Oui, elle comprend que ce n’est pas la queue – si belle et expérimentée soit-elle – qui lui fait cet effet. Ce sont les autres. Leur présence, leurs regards. Se savoir le centre de leur monde, et même si c’est pour la soumettre à leur propre désir, c’est merveilleux.
    
    — Oui ! Oui C’est bon ! Continuez.
    
    Leurs sourires se font pervers, vicieux, et c’est beau.
    
    — Faites de moi ce que vous voulez… Ahhhhhh… Je suis à vous… ...