1. La fille au pair


    Datte: 12/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... qui libère sa semence en de longs jets et lessive la matrice de Chloé dans des endroits n’ayant encore jamais connu pareil déferlement.
    
    Chloé met un moment pour redescendre de ce paradis. Elle apprécie chaque instant. Ivar qui se retire, laissant la femme vide de son mandrin mais remplie de son foutre ! Ingrid qui, étonnée d’une telle jouissance, câline celle qui repose entre ses cuisses.
    
    Enfin elle bouge. Elle vient s’asseoir là où sa maîtresse la guide. Ivar, lui, reste en retrait avec sa bite encore érigée même si elle paraît moins grosse. « Il pourrait presque recommencer… » pense Chloé en voyant l’engin encore si imposant.
    
    Elle est à peine surprise lorsqu’Ingrid vient la câliner de la main, puis de ses lèvres, descendant rapidement entre ses cuisses. « La femme joue avec la liqueur de son mari ; quels pervers ! » pense Chloé, qui pourtant apprécie ce traitement et n’hésite pas à s’ouvrir pour faciliter les caresses.
    
    Mais la perversité se partage. Ingrid, se relevant, vient embrasser Chloé. Ses lèvres sentent le foutre. Sa langue pousse des filets de sperme et de salive mélangés. Chloé n’a jamais accordé à ses amants le droit de juter dans sa bouche, et si elle connaît le goût du sperme, c’est de ceux qui ne savent pas se retenir. Alors elle recrachait avec dégoût.
    
    Pourtant, avec ce couple, elle se laisse faire et cela lui paraît normal. Normal, comme la bite qu’elle découvre alors qu’Ingrid se relève. Une bite dont le propriétaire a apprécié le spectacle ...
    ... offert par les deux femmes car son érection est totale. Normal que l’homme se place entre les cuisses que sa femme vient juste de lécher.
    
    « Il est vraiment gros… » pense Chloé, toute étonnée à nouveau qu’elle puisse le recevoir en entier dans son intimité. L’homme la domine, sa femme lui caresse la poitrine. De longues minutes, elle est leur jouet. La queue est magnifique lorsqu’elle ressort de sa chatte avant de repartir à l’attaque. Cela dure longtemps et c’est bon, si bon… Bon autant par la queue qui la bourre que par les caresses sur des tétons qu’Ingrid martyrise, mais aussi par l’étrangeté de la situation.
    
    Et puis Ivar se saisit d’elle. Elle n’a que le temps de s’accrocher à son cou, de nouer ses jambes autour de sa taille que la voici chevillée sur une queue avec l’homme qui marche sur le pont. Les obstacles sont nombreux avant qu’il n’atteigne son but. Chaque pas, chaque secousse, chaque cordage évité est l’occasion de ressentir le mandrin en elle. Enfin il la dépose avec précaution. La barre de gouvernail est à côté, splendide roue de bois travaillée pour se caler dans les mains du capitaine. Mais le capitaine, c’est elle, car Ivar la place face à la barre, la fait s’y appuyer, l’invite à se cambrer, écarter les jambes, et "la" capitaine se fait à nouveau clouer par le mandrin brûlant.
    
    Combien de marins, Combien de capitaines
    
    Sont partis joyeux pour des courses lointaines…
    
    Son père lui avait clamé ces verbes pompeux mais jamais elle n’aurait imaginé ...
«12...121314...20»