1. La fille au pair


    Datte: 12/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... côté d’Ingrid, pour tester de deux doigts la dureté du membre avant d’avancer sa tête vers lui. Pour la première fois de sa vie elle suce une queue déjà recouverte de salive, déjà préparée, déjà célébrée par cette sorte d’adoration païenne qu’est la fellation. Mais une bite si grosse qu’elle doit faire appel à toute son expérience, la souplesse de ses lèvres, et surtout sa faculté à s’ouvrir assez pour pouvoir la gober.
    
    — Oh, petite fleur française, tu t’y connais en pipes. N’est-ce pas, chérie ?
    
    — Oh, que oui ! ne peut s’empêcher de remarquer l’épouse généreuse.
    
    Mais ce que Chloé retient, c’est la confirmation de l’homme, ses grondements de plaisir, de celui qu’elle sait expérimenté, avec manifestement de nombreuses maîtresses. Et elle s’applique, la "petite fleur française" dont la bouche est une corolle avec des pétales qui enveloppent le gland et un gros bout de la hampe, jusqu’à ce que le calice fasse barrage à une plus grande possession. Mais sa langue est un pistil qui fait plus qu’effleurer la longue tige, distillant un suc qui coule jusqu’aux grosses bourses, des bourses qui elles aussi font connaissance avec la bouche.
    
    — Elle est belle et grosse, hein, petite voyeuse française ? insiste Ingrid qui encourage Chloé en la caressant.
    
    Mais Chloé suce, pompe, creuse ses joues pour des aspirations provocantes. Elle se sent cochonne et différente. Nul doute que tout ce qu’elle a vu ces derniers jours avec, cette nuit, un tableau final digne d’un film ...
    ... porno, ne l’a mise en condition. Un poète pervers, amateur de jeux de mots salaces, préciserait "mise en bouche"…
    
    — Et moi, petite cochonne française ? demande la femme alors qu’elle écarte les cuisses dans une totale impudeur, d’autant que le soleil se fait un complice obscène en éclairant le pubis bombé, les plis des petites lèvres, la rougeur sombre de la grotte et une excroissance qui est au commencement et à la fin de ce lieu secret.
    
    Le mari se fait lui aussi complice en guidant le visage de Chloé vers l’entrejambe de son épouse. Visage aussitôt pris en main par la femme qui le guide entre ses cuisses.
    
    — Suce-moi. Montre que tu sais aussi lécher une femme. Une cochonne comme toi doit savoir comment.
    
    Chloé ne répond pas. Étrangement, elle ne veut pas paraître inculte de certaines pratiques et plaisirs. Aussi elle fait "comme pour elle". Elle trouve la chatte humide, et cela la conforte. Ainsi, non seulement elle excite le mari mais aussi ne laisse pas la femme indifférente. Si Chloé n’a jamais connu les amours lesbiennes, elle peut en comprendre le charme et la délicatesse. Elle s’applique. Sa langue, sa bouche, même son nez sont ses assistants. Ingrid ne parle plus : elle aide seulement en guidant parfois le visage de ses mains.
    
    Mais le mari n’est pas resté immobile. Il a bougé du siège pour se glisser derrière Chloé. Il la guide, lui faisant prendre une position où il a accès à sa chatte. Lui aussi la caresse, ses mains, ses doigts suivent une langue ...
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