1. Toilette intime par une plantureuse infirmière (1)


    Datte: 11/07/2020, Catégories: Erotique, Auteur: bgp, Source: Xstory

    ... mon dos, puis l’autre bras sous mes genoux, soulèvent légèrement mes jambes et me fait tourner comme si je ne pesais rien. Pendant la manœuvre, elle appuie sa poitrine comprimée par la blouse contre mon bras et la fermeté de cette énorme masse me fascine. Il faut dire que c’est la première fois de ma vie que j’ai la chance d’être percuté par un telle paire de seins ! Je me retrouve assis sur le bord du lit et l’amazone me fait face, mon visage se trouvant juste à hauteur de son profond et généreux décolleté. Elle se penche alors sur moi, laissant ses seins butés contre mon visage et entreprend de dénouer la sangle de mon pyjama, qu’elle m’arrache d’un mouvement rapide et fluide. On y est ! Je me retrouve nu face à la géante et forcément mon sexe quasiment imberbe se dresse vers le ciel. Karine rougit, mais son professionnalisme l’empêche de le relever. Elle doit sûrement connaître l’effet qu’elle a sur les hommes, surtout sur les jeunes encore boostés aux hormones comme moi !
    
    — On va voir si tu peux tenir sur tes pieds. Je vais mettre mes mains sous tes bras et t’aider à rester debout.
    
    La belle qui se tient face à moi, met ses mains sous mes aisselles et sans autre forme de procès, me soulève du lit pour maintenir tout mon poids en l’air par la seule force de ses bras.
    
    — Oups ! Je crois que j’y suis allée un peu ...
    ... fort ! Je te croyais plus lourd. Combien pèses tu ?
    
    Elle me tient encore en l’air et c’est à peine si je la sens forcer, même si ses imposants biceps se sont gonflés et menacent de déchirer ses manches !
    
    — Je fais 50 kg pour 1m68. Ce n’est pas si léger ?
    
    — Quand on fait 110kg pour 1m88, ce n’est quand même pas très lourd, et j’ai l’habitude d’aider mon père à charger des moutons qui doivent bien faire 60, 70 kg.
    
    En effet, c’est une très belle plante qui est de plus une force de la nature ! Et je n’aurais jamais pensé que ça puisse autant me plaire d’être manipulé ainsi. La belle commence à me poser sur le sol, mais je n’en ai aucune envie. Je me sens si bien et si excité, maintenu en l’air par la seule force de ses bras puissants.
    
    — Aï ! ça me fait mal !
    
    A ces mots, la belle stoppe son mouvement et me suspend à nouveau en l’air.
    
    — Ce n’est pas grave, je vais te porter.
    
    Tout en me portant à bout de bras, elle se déplace gracieusement à la salle de bain où j’ai la chance de voir dans le miroir, mon petit corps maigre à l’érection perpétuelle, porté par cette géante pulpeuse. Elle me laisse descendre jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol et m’assoit délicatement sur la chaise prévue à cet effet, ouvre le robinet et laisse venir une eau suffisamment tiède sur sa main, avant de la laisser couler sur moi. 
«12»