1. Vacances en camping-car (4)


    Datte: 11/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: burton195, Source: Xstory

    — Tu voudrais que je la mette où, ta main ? Me demande María, d’une voix sensuelle qui puait le sexe à plein nez.
    
    — Dans ta culotte.
    
    Ma réponse a été directe. C’était une évidence, elle le savait aussi bien mieux, mais elle voulait continuer à jouer alors que moi, je n’avais qu’une envie : profiter de l’heure de trajet qui nous restait ce matin pour lui faire sa fête.
    
    — Bonne idée, me répond-elle.
    
    Elle glissa doucement ma main sur son ventre à la peau douce et, après avoir effleuré son nombril du bout des doigts, elle la posa sur le tissu de sa culotte. Je constatais aussitôt que celle-ci était légèrement humide, ce qui me donnait un bref aperçu de son état d’esprit actuel.
    
    — Vas-y, amuse-toi, me dit-elle.
    
    Une fois de plus, je ne me fis pas prier. Je commençai donc par lui caresser le sexe par-dessus le tissu, tout en faisant des gestes très tendres, et j’entendis aussitôt María gémir doucement.
    
    — T’aimes ça ?
    
    — Oui, c’est... c’est bon...
    
    Du coup, j’accélère un peu mes gestes, sans cesser de la regarder, et je vois qu’elle a l’air de prendre du plaisir car elle ferme les yeux en se mordant les lèvres, et je sens ses jambes s’agiter sous le duvet. Quant au tissu de sa culotte, il devient de plus en plus mouillé
    
    — Tu veux que je m’arrête ?
    
    — Non, continue, s’il te plaît...
    
    Je continuai donc de lui tripoter l’entrejambe pendant encore quelques minutes puis, sans qu’elle me le demande, ma main se glisse sous l’élastique de sa culotte. Tout à ...
    ... l’air rasé de frais, comme si elle s’attendait à ce moment d’intimité et qu’elle s’était préparée pour l’occasion.
    
    Ma main descend rapidement vers ses lèvres qui ont l’air trempées. Je ne les sens que du bout des doigts et je ne les vois pas en vrai mais je les imagine et, pour l’instant, c’est suffisant. Je me mets donc à les tripoter doucement, puis je titille ensuite son petit bouton de chair.
    
    Une fois de plus, María a beaucoup de mal à se contenir et bouge dans tous les sens. J’aimerais lui dire de se calmer avant que les parents ne s’aperçoivent de quelque chose, mais ce spectacle est tellement bandant et beau à voir que je me retiens. De toute façon, le camion fait tellement de bruit que je ne vois pas comment ils pourraient se rendre compte de quelque chose.
    
    Mes gestes s’accélèrent petit à petit et, lorsque je glisse un doigt entre ses lèvres avant de le remuer dans tous les sens, María met sa main devant la bouche pour étouffer un gémissement. Tiens, et si on poussait le vice encore plus loin ? Ni une ni deux, mon doigt fait des va-et-vient de plus en plus rapide dans sa fente, et je sens du liquide me couler sur la main. Après quelques secondes, un deuxième doigt rejoint le premier et suit le même rythme frénétique.
    
    — T’aimes ça te faire doigter ? Je demande à María.
    
    — Oui, c’est... c’est... c’est bon !
    
    Sa voix est entrecoupée à cause du plaisir qu’elle est en train de prendre, et elle a donc du mal à enchainer trois mots correctement. J’accélère ...
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