1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (5)


    Datte: 11/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... quintessence de l’animalité femelle contrôlée, de la beauté sublimée, le "sex-appeal", la séduction érotique, la classe des grandes bourgeoises…
    
    Des chaussures à talon haut et lanières sur les mollets, des bas gris ( et oui malgré cette chaleur…on lui avait dit qu’une femme du grand monde porte toujours des bas quelque soit la température), une robe moulante s’arrêtant à mi cuisse, avec un beau décolleté et des bords ajourés sur les côtés et dans le dos, qui laissaient entrevoir la naissance des seins sur les flancs.
    
    Et elle ne portait rien en dessous, pas de string, ni de soutien-gorge, je voyais les pointes de ses seins en érection à travers le tissu.
    
    Ses seins avaient été refaits cela se voyait, ils avaient un meilleur maintien.
    
    Sa peau était ambrée par le soleil, du vernis à ongle sur les mains et les orteils, des tatouages !
    
    Une vipère qui lui descendait dans le décolleté avec la mâchoire ouverte comme pour mordre un sein…référence au suicide de Cléopâtre ?
    
    Un bouquet de roses très rouges sur le côté a travers la partie ajourée…
    
    Je n’osai penser à ce qu’il pouvait y avoir sur son pubis ou ses fesses ?
    
    Son visage était éclatant de beauté et de jeunesse. On lui aurait donné à peine 30 ans.
    
    Un maquillage léger mais subtil qui lui rendait un regard de braise. Mascara, léger fond de teint vert tendre sur les paupières, et crayon noir autour des yeux avec un trait à l’égyptienne.
    
    Ses cheveux noirs de jais, avec des reflets bleutés.
    
    Et sa ...
    ... coupe, sa coupe, un appel au sexe.
    
    Les cheveux mi longs très raides (alors qu’elle bouclait légèrement avant) et le coté droit à moitié rasé.
    
    Cela lui donnait un air de femme qui aime le sexe…je pensais à un autre mot commençant par un S, mais que je ne pouvais employer pour ma mère !
    
    Une reine de boite à partouze, une Messaline BCBG, une déesse de la luxure…tout en elle proclamait :
    
    « Je suis en chaleur, messieurs, venez me prendre ! »
    
    On la voyait à 100 mètres, pas possible de la rater.
    
    « Bah alors mon chéri, je t’ai connu plus prolixe, le nouveau look de ta petite maman ne te plait pas ?
    
    Je suis sûre que tu m’aurais croisée dans l’escalier tu m’aurais appelé madame …bon allez ne reste pas planté là, tu prends tout ce qu’il y a dans le coffre. »
    
    Et effectivement il y en avait des boites à chaussures, sacs de vêtements de marques, manteaux, lingerie …
    
    Jennifer, Mango, Lise Charmel, Aubade, et même un sac « Elle et lui » (magasin de charme et gadget)
    
    Les bras chargés par la pile qui m’arrivait au menton, ma petite maman qui montait l’escalier devant moi ne portait que son petit sac Vuiton.
    
    C’est clair que la carte bleue de mon père avait chauffé…à blanc !
    
    Arrivée sur le palier en haut de l’escalier, ma mère se retourna et me dit :
    
    « Tu te souviens de l’avertissement que je t’avais donné il y environ 6 semaines ?
    
    — Non maman c’était quoi ?
    
    — Bon d’abord, ne m’appelle PLUS JAMAIS maman !!
    
    Capito ?
    
    — Oui mam….heu comment dois-je ...