1. Plaisir solitraire.


    Datte: 11/07/2020, Catégories: En solitaire, Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds

    Je m’appelle Béatrice mais tout le monde m’appelle Béa. Je suis en terminale au Lycée et après l’été, je dois aller en faculté pour poursuivre mes études. Je m’y consacre totalement pour décrocher la meilleure mention possible au baccalauréat, ce qui explique qu’actuellement, je n’ai pas de copain.
    
    Originaire du Loiret, mes parents m’ont loué un minuscule studio pourvu de tout le confort à proximité du Lycée ce qui est très pratique pour moi. Grande brune à l’allure sportive et longiligne, j’ai deux beaux petits seins bien ronds et haut perchés, de longues jambes dominées par des hanches étroites avec des fesses petites elles aussi mais bien galbées. En dehors des études, je joue dans l’équipe de volleyball du lycée et, généralement le samedi matin, je fais de longs footings dans le parc du Jardin du Luxembourg.
    
    Il y a une quinzaine de jours, je prenais ma douche après avoir bien transpiré en faisant mon footing. Bien que ce ne soit pas habituel, ce jour-là, mes mains se sont égarées sur ma chatte pour faire mousser le savon sur ma touffe et dans la fente. Cela m’a procuré une telle décharge de plaisir que j’ai commencé à véritablement me caresser, faisant entrer deux doigts profondément dans mon sexe. Que c’était bon !
    
    Je n’étais plus vierge mais jamais je ne m’étais caressée ainsi. Je suis sortie de la douche, je me suis séchée et allongée sur mon lit, nue, j’ai continué à me masturber. Que çà faisait du bien, je passais alternativement par des sensations de ...
    ... chaleur intense et des frissons.
    
    Mes doigts ne me suffisaient plus. Pour mieux me pénétrer, j’ai utilisé une mini bombe de laque pour cheveux dont le couvercle arrondi ne risquait pas de me blesser. Cela faisait plus de six mois que je n’avais pas baisé et soudain mon corps a été foudroyé par un orgasme terrible qui m’a laissé tétanisée pendant de longues minutes.
    
    Dans les jours qui ont suivi, je me suis caressée ainsi à plusieurs reprises. Chaque fois, une jouissance terrible m’envahissait à tel point que je suis allée dans un sex-shop pour y faire l’emplette d’un gode. Je ne me sentais pas particulièrement à l‘aise lorsqu’une vendeuse est venue m’ouvrir la porte. Surprise, elle m’a demandé mon âge. Mes 18 ans sont encore récents et je l’ai rassurée à ce sujet en sortant ma carte d’identité.
    
    Je n’étais jamais entrée dans ce genre de boutique à la réputation sulfureuse. Devant l’étalage de tous ces gadgets sexuels, j’étais un peu perdue. Je ne me suis pas aventurée à l’étage car un panneau indiquait « Livres, cassettes vidéos, D.V.D. cabines de projection».
    
    Ce que je cherchais ne s’y trouvait certainement pas. Par contre, derrière un comptoir il y avait des vitrines où étaient présentées toutes les sortes de gadgets imaginables.
    
    Voyant mon embarras, la vendeuse qui m’avait accueillie, me demanda ce que je cherchais. Certainement une métisse antillaise, un peu moins grande que moi mais pourvue d’une poitrine bien galbée, libre sous son teeshirt en maille large de fil ...
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