1. Pagaille !


    Datte: 10/07/2020, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, extracon, Collègues / Travail fépilée, froid, BDSM / Fétichisme Oral préservati, jeu, champagne, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... couilles, prend en bouche son membre qui tant de fois déjà est venu en moi. Elle pompe, pompe.
    
    — Il résiste, l’animal. À toi, Virginie.
    
    Virginie enlève lascivement son pyjama noir et lèche, suce, palpe les couilles, pince les petits tétons. Puis elle enfourne ! Gorge profonde ! Je ne le fais jamais, je ne supporte pas, ça entraîne chez moi d’horribles haut-le-cœur. Comment peut-elle y arriver, elle ? Mon pauvre chéri va-t-il y résister ? Je crains bien que non. Pourtant, il est capable de me faire l’amour plusieurs fois de suite parce qu’il ne jouit pas forcément à chaque fois, et je trouve cela très appréciable, bien sûr. Enfin Virginie renonce. Vient le tour d’Anne-Laure. Elle suçote gentiment, picore, tapote de sa langue, s’amuse enfin. Mais elle arrête assez vite.
    
    — Tiens, dit-elle, je te le rends.
    
    Je sais ce qu’il faudrait faire pour qu’il jouisse, mais je ne peux pas lui faire ça. Service minimum, donc. Personne ne proteste. Quand nous nous relevons, lui et moi, Bénédicte inspecte l’intérieur de la capote. C’est humide, certes, mais ce n’est pas vraiment du sperme.
    
    — Bon, dit-elle, tu as gagné. Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
    — Action ou vérité, Bénédicte ? lui demande aussitôt Mickaël.
    — Ah bon ! Eh bien, action, comme de toute façon tu me piégerais…
    — Non, je voulais simplement te demander si c’est douloureux de se faire épiler.
    — Un peu, quand même. C’est mon mari qui veut.
    — Pour le cuni ?
    — Ben oui, tiens !
    — Moi, les poils ne me gênent ...
    ... pas.
    — Dommage.
    — Pourquoi ?
    — On en aurait bien enlevé quelques-uns à Sophie.
    — Je m’épile le maillot, tu as bien vu.
    — Tu es douillette ?
    — Comme tout le monde !
    — Chacun de nous va t’enlever deux ou trois poils, pour te punir.
    — Me punir de quoi ?
    — Tu dois bien le savoir. Mickaël, une pince à épiler, s’il te plaît !
    
    Il va dans la salle de bains et en revient avec ma pince à épiler dorée, qui provient de la trousse de luxe offerte par maman à l’occasion de mes vingt ans. Je m’allonge sur la moquette, docile. Ce n’est qu’un jeu ! Bénédicte commence :
    
    — Un, deux, trois, quatre ! Je vais les garder. Je les scotcherai en bas de mon écran, au bureau. Si le vieux cochon me demande de quoi il s’agit, je lui dirai tout.
    
    Elle donne la pince à Virginie, qui s’applique et tire lentement, à trois reprises. J’aimerais autant qu’elle y aille d’un coup sec ! Anne-Laure en prend quatre, en tirant sa jolie langue. Vient le tour de Charles-Henri, qui ne se presse pas. Il fouille, cherche-t-il les plus longs, les plus noirs, les plus bouclés ? Et tire…
    
    — Hop, deux d’un coup ! Je vais les placer dans mon portefeuille, sur mon permis de conduire. À toi, Mickaël.
    — Oh moi, je les ai sous la main en permanence, je passe.
    — Que sous la main ? ironise Bénédicte.
    — Façon de parler ! Mais tu me dois une action. Va remplir de neige la bouteille de champagne.
    — Dans la rue, toute nue ?
    — Évidement, dans la rue, toute nue ! Tu es naturiste, non ?
    — Mais il me faudra un temps ...