1. Madeleine, ma vieille voisine est une coquine


    Datte: 10/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... même quand elle est seule dans sa chambre ou dans la salle de bain.
    
    Dans ces cas là, je suis obligé de me branler pour soulager la tension de ma bite. Il faut dire que je l'ai aperçue une fois nue dans sa chambre dont la porte était entrebâillée et elle est superbe !
    
    Nous déjeunons tous les quatre et l'après-midi, nous partons faire une promenade avec ma femme. Elle aussi veut visiter Bordeaux en amoureux. Sans qu'elle le sache, je refais le parcours emprunté avec Madeleine. Jusqu'au fameux banc où on s'embrasse. Je suis excité en pensant à la scène de l'autre jour.
    
    On déjeune sur les quais d'un excellent plateau de fruits de mer et finissons par faire les magasins de la rue sainte Catherine.
    
    Le reste du week-end, nous restons seuls à la maison, plateau télé et sieste coquine le dimanche comme d'habitude.
    
    Le lundi, Madeleine m'appelle au téléphone.
    
    « Tu veux venir à la maison ?
    
    Tu es en manque ?
    
    Salaud ! Oui ! Je suppose que toi tu as bien profité du week-end ?
    
    Bien sûr ! Ma femme était chaude, un peu-beaucoup à cause de toi.
    
    Salaud !
    
    C'est vrai que tu n'as pas non plus Huguette pour t'amuser !
    
    J'y crois pas !
    
    Attend ! J'ai une idée. Viens chez moi, je vais te faire essayer les jouets de ma femme.
    
    C'est pas vrai ! Je suis tombée sur un grand malade !
    
    Et tu aimes ça, vieille cochonne ! Ah, au fait, tu viens nue sous ta robe et mets des bas.
    
    J'en ai toujours sur moi.
    
    C'est bien. A tout de suite ». Je raccroche sans lui laisser ...
    ... le temps de répliquer.
    
    Quand Madeleine frappe à la porte, je la fais patienter un peu alors que je l'ai vue arriver. J’entrebâille enfin l'huis et lui demande de quitter sa robe avant de rentrer.
    
    « Tu es fou ! Si quelqu'un me voit ?
    
    Si tu te dépêches, il y a peu de chance, d'autant qu'à part le portail et ton jardin, personne ne peut voir. » Je referme la porte.
    
    A travers la vitre dépolie, j'aperçois la silhouette de Madeleine qui semble hésiter. D'un coup je la vois déboutonner sa robe. Une dernière hésitation et elle laisse tomber son vêtement.
    
    Elle va pour taper, mais j'ouvre avant et elle se précipite dans la maison en me bousculant. Je ramasse la robe qu'elle avait laissé par terre et referme derrière moi.
    
    Elle est là, nue dans l'entrée, les yeux brillants comme une enfant prise en faute. Je l'enlace et nous échangeons un long baiser.
    
    « Tu es complètement fou toi ! Dit-elle quand enfin on se sépare
    
    Dis que tu n 'aimes pas.
    
    Je...Ce n'est pas ça, mais je ne pensais plus pouvoir exciter encore un homme à mon âge.
    
    Tu réussis même à exciter les femmes alors. Tu sais que ma femme a vingt ans de moins que toi ?
    
    Oh ! Je.. Je n'y avais pas pensé !
    
    Ça te dérange ?
    
    Je... Tu me fais faire n'importe quoi aussi ! C'est bien toi qu'y m'a poussé à la draguer ?
    
    Je ne te reproche rien. Par contre, j'ai très envie que tu me suces.
    
    Tu es un salaud !
    
    On va bien ensemble. Allez viens ! » J'emmène Madeleine dans le salon et je me place devant la ...