Madeleine, ma vieille voisine est une coquine
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... jours passent et je sens qu'un soir elle a envie de me dire quelque chose. C'est d'elle même qu'elle m'annonce que vendredi soir elle va manger chez la voisine qui l'a invitée.
« C'est très bien ! Ça lui fait de la compagnie et elle est très sympathique. Envois-lui le bonjour de ma part et dis lui qu'à mon retour, je suis d'accord pour retourner visiter Bordeaux. Je t'embrasse. »
Le lundi suivant, j'appelle Madeleine dans la journée pour savoir comment s'est passé le week-end. Notre voisine est tout guillerette et me raconte la soirée du vendredi.
« Huguette est venue prendre l'apéritif avec nous. Je me suis arrangée pour « forcer » un peu sur les doses d'alcool. A un moment, Huguette m'a rejointe à la cuisine pour m'embrasser. Je me doutais que ta femme devait nous surveiller, aussi j'ai fais durer un peu. J'ai entendu un bruit à côté et j'ai pensé qu'elle avait dû nous voir. Je savais qu'ensuite, Huguette partirait, car elle ne reste jamais longtemps le soir.
Après son départ, j'ai resservi une tournée et me suis assise à côté de ta femme. On parlait de tout et de rien mais je sentais qu'elle était crispée, comme en attente de la suite. J'espérais qu'elle n'était pas jalouse de Huguette et notre petit intermède ne l'avait pas rendue méfiante. Que le fait que j'embrasse aussi l'autre voisine ne l'avait pas braquée contre moi.
J'ai parlé un peu de toi, de vous, de votre vie. A un moment j'ai réussi à prendre un biscuit apéro en même temps qu'elle. Nos doigts ...
... se sont touchées. Elle ne s'est pas retirée, alors je lui ai pris la main et l'ai tenue dans la mienne. Voyant qu'elle se laissait faire, j'ai posé mes lèvres sur sa main et elle a frissonné.
Lentement, je me suis penchée vers elle et nos lèvres se sont trouvées. J'ai glissé alors vers son cou pour l'embrasser.
Elle est très sensible de là.
Je m'en suis rendu compte, car elle a aussitôt soupiré et s'est laisser aller. Je l'ai entourée de mon bras et je suis revenue à sa bouche. Elle a tout de suite participé à mon baiser et nos langues se sont mêlées.
On s'est roulées des pelles à n'en plus finir, un peu comme avec toi sur « notre » banc. Mes mains sont parties à l'assaut de ses seins, les siennes sur les miens. Puis je suis descendue petit à petit sur son ventre, jusqu'au genou et suis remontée sous sa robe. Elle était complètement abandonnée.
Arrivée à mi-cuisses, j'ai constaté qu'elle portait des bas. Au dessus, sa peau était douce et chaude. Elle a laissé remonter ma main en écartant un peu ses jambes. Je suis arrivé à sa fourche et là, surprise, j'ai senti sa peau nue et épilée.
Petite coquine ! Ai-je dis en abandonnant ses lèvres, tu n'as pas mis de culotte ! Tu avais donc envie que je te caresse ! Regarde, moi-non plus je n'en ai pas.
J'ai relevé le bas de ma robe pour lui montrer ma chatte, déjà humide. Moi non plus je n'ai pas de poils !
Sans attendre plus, je me suis agenouillée entre ses jambes et j'ai plongé ma bouche sur sa chatte. Elle ...