Soumis, souillé et prêté (1)
Datte: 09/07/2020,
Catégories:
Gay
Auteur: Platony, Source: Xstory
... prendre les devants, et me soumettre comme il faut.
Oui, c’est mon fantasme. Je veux d’un homme qui sache me traiter comme la salope que je suis. Qui me prendrait violemment. Qui ne me laisserait pas rentrer chez moi après l’avoir sucé, mais qui me forcera à le pomper toute la nuit. Je veux être un jouet sexuel, sans aucune valeur, au service de mon maître. Mais pour ce soir, ce sera masturbation et insertion d’objets. Il faut dire que j’ai un petit panel chez moi. Je sors le lubrifiant, m’installe dans mon lit pour profiter un peu.
Je repense à mes anciennes histoires, à tous ces hommes que j’ai vu passer. J’avais un bon classement sur le site où je trouvais mes hommes. Je me rappelle doucement cet homme qui m’avait payé, et que j’avais sucé dans sa voiture sur le bord de la route. Il m’avait payé hôtel quelques jours plus tard. Je m’étais retrouvé à le sucer comme sa pute personnelle. Il avait filmé avec mon téléphone mais j’ai perdu le film. Au moment où il avait essayé de me pénétrer, j’ai ressenti une douleur et j’ai tout arrêté. Je ne regrette pas, mais j’aurais aimé qu’il pousse mes limites... Qu’il me dise non, qu’il l’enfonce quand même et que seul unsafe code établi ensemble aurait pu arrêter. Un code que je n’aurais pas utilisé. Et il m’aurait soumis, pénétré et souillé.
« Vrr vrr ».
Ça, ce n’est pas un vibro mais une notification sur mon téléphone. ...
... Un peu étrange, comme je suis d’un naturel un peu solitaire, j’en reçois peu habituellement. Oh, c’est Vincent. Sans doute veut-il que je retourne le sucer demain.
« Vraiment sympa ce soir ! Impatient qu’on se revoie ».
Bingo. Je lui réponds qu’on verra en fonction de mon horaire. Je me dis qu’en laissant passer un peu de temps, il oubliera vite cette histoire et que je trouverai quelqu’un d’autre. Mais le bougre insiste, et je me sens obligé de le calmer un petit peu.
— C’était vraiment sympa, je ne sais pas si j’ai envie de refaire ça, on verra d’ici quelques jours, lui dis-je.
— Oh mais je ne te demande pas vraiment ton avis. On va se revoir, je n’en ai pas fini avec toi.
Son audace me donne un petit frisson. Je dois bien reconnaître que ça marche un peu sur moi.
— Et puis, ajoute-t-il, j’ai d’autres arguments.
Le temps qu’un fichier charge, et je découvre une vidéo. Je l’ouvre, et découvre mon visage en train de recevoir la faciale. On me voit sucer avec passion, du sperme dégoulinant sur tout le visage. J’ai vraiment l’air d’une chienne en manque. Je suis pétrifié, je sais qu’il connaît mon nom. C’est trop facile pour lui maintenant. Je ne peux rien lui refuser. Je prends conscience de la merde royale dans laquelle je me suis fourré. Je reçois un dernier message :
— Je n’ai pas besoin d’en dire plus, je pense. On se voit demain à 20h chez moi ?