Chienne (13)
Datte: 08/07/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: quidam77, Source: Xstory
... vieille femme, il recula.
Marie avança comme je l’avais fait peu auparavant, c’est-à-dire comme une gentille chienne qui marche bien au pied. Le chien les suivait en continuant à lécher le cul de Marie.
La vieille dame conduisit Marie jusqu’à moi.
— Comme l’autre chien est occupé, termine de nettoyer... ordonna-t-elle en montant mes fesses à Marie.
Celle-ci voulut protester, mais l’attitude de la vieille dame montrait que ce serait peine perdue et que cela aggraverait certainement son cas.
Elle commença donc à lécher mes fesses, mon anus puis mon entrejambe.
Était-ce sa position ? La tête entre mes cuisses alors qu’elle était à quatre pattes, cela offrait une vision de ses fesses et surtout les rendait plus « accessibles »... Le chien, gourmand, peut-être gourmet et amateur de miel, n’en était pas moins un mâle excité...
Il monta sur Marie qui a failli s’écrouler sous le poids de la bête et aussi par l’effet de surprise.
Elle arrêta de me lécher en sentant l’animal qui commençait à remuer le bassin pour un coït qui n’était encore qu’imaginaire... Il frappait dans le vide ou les fesses de Marie, mais était loin du but...
— Qui t’a dit d’arrêter ? aboya la vieille femme.
Marie se remit donc à l’ouvrage. La vieille femme, qui pouvait faire preuve d’empathie, vint ensuite au secours du chien. Elle guida l’excité pour qu’enfin son sexe se trouve au niveau des lèvres intimes de Marie. Ce fut alors, sans ...
... mal qu’il s’introduisit dans sa nouvelle compagne.
Le vieil homme qui devait être le compagnon de Marie qui maugréait contre la vieille dame sans pour autant oser croiser son regard se figea comme hypnotisée par le spectacle. Sa « Marie » était en train de se faire mettre par un chien... Il ne pouvait pas dire que cela lui plaisait, mais il ne pouvait pas, honnêtement, affirmer que cela lui déplaisait.
Quant à Marie, qui s’était, au début, résignée à offrir son con à ce chien, semblait maintenant prendre de plus en plus de plaire... Le chien lui faisait son ouvrage sans trop se poser de question.
Mes fesses étaient maintenant délaissées, Marie ne me léchait plus, elle voulait profiter au maximum de son nouveau et besogneux amant. Les autres, trop occupés à bénéficier du spectacle, m’oublièrent tout autant.
Marie prenait son pied et cela s’entendait, le chien allait au plus profond d’elle et elle semblait chercher à le faire entrer encore plus profondément... le Knock avait franchi la limite et avait disparu dans le bas-ventre de Marie et pourtant, on aurait dit qu’elle en voulait plus... elle pleurer, criait et suppliait même... Mais pas pour qu’il arrête, bien au contraire...
Ses « Ohhhhhhhhhh ouuuuuuuui » Résonnaient dans tout le logement... Les « c’essst trooooop bonn » devenait le tube de l’instant...
L’orgasme était non seulement là, mais ce fut, j’en suis certaine, le plus fort qu’elle n’ait jamais senti.