1. Un voisin dévoué


    Datte: 08/07/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, voisins, grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral légumes, double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... cœur ? Tu rentres déjeuner aujourd’hui ? Viande, poisson ?
    — Non, désolé j’ai un rendez-vous et n’aurai pas le temps. Par contre, tu peux faire manger Seb, ça lui fera plaisir. Il a l’air sérieux ce gamin. Il avance ?
    — Oui, oui ! Il ne s’est arrêté que cinq minutes pour venir boire un café avec moi. En plus, il est charmant ! Je vais faire trois courses puis nous déjeunerons ensemble, au moins je ne serai pas seule, plutôt bien accompagnée d’ailleurs…
    — Eh Chaton ! Pas de blagues ! Charmant peut-être, mais il ne faut pas pour autant en oublier ton mari adoré !
    — Pas de soucis ! Je t’aime à la folie ! Mais… Il est craquant ce garçon et je suis toute émoustillée de savoir que je suis toute seule avec lui.
    — Coquine ! Bon je te laisse, je t’embrasse et… Sois sage ! Enfin…
    
    De retour un peu plus tard, je déposai mes courses. Seb est toujours au travail.
    
    — Seb !
    — Oui ?
    — Tu déjeunes ici à midi, ordre du patron avec accord de la cuisinière !
    — Merci ! C’est très gentil !
    
    Et me voici dans la cuisine, face à la corvée d’épluchures. Un poivron, un coup d’œil vers la fenêtre ouverte, Seb nettoie les rosiers. Deux courgettes… Mon esprit divaguait un peu face à la dimension des légumes et se perdait vers un jeune garçon athlétique, une douce chaleur montait en moi. Je ne résistai pas à l’envie de caresser lentement mes seins d’une main au travers du tissu et de l’autre je frôlai le légume en imaginant…
    
    — Aïe !
    
    J’ai frôlé la lame du couteau posé à côté des légumes, ...
    ... mon doigt laissa perler quelques gouttes de sang. Mon cri a attiré l’attention de Seb qui vint jusque sur le pas de la porte.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ?
    — Je me suis coupée en épluchant les légumes
    — Grave ?
    — Non, mais si tu veux bien aller me chercher un pansement dans l’armoire à pharmacie, dans la salle de bain… répondis-je en mettant mon doigt sous le robinet.
    
    Déjà de retour avec la boîte de pansement, Seb s’approcha, regarda ma blessure, saisit ma main. Il me fait asseoir.
    
    — Laissez-moi faire, ça n’a pas l’air bien méchant !
    
    Je lui abandonnai ma main, les siennes sont douces et chaudes. C’est presque tendrement qu’il essuya la blessure, l’entoura d’un petit pansement. Gardant toujours ma main dans les siennes il me regarda avec un grand sourire.
    
    — Et voilà ! Rien de grave mais les légumes, je vais être obligé de m’en occuper aussi. Restez assise, j’en ai pour une minute.
    — Merci Seb, c’est gentil !
    
    Nos regards se croisent, le sien descendit, je le sentis presque comme une main, plonger dans l’échancrure de ma robe. Il me dominait largement et dut ainsi contempler sans difficultés mes seins nus. Brutalement, ce sont en effet ses mains que j’aimerais sentir sur ma peau. Je frémis sous son regard, il le sentit, tenant toujours ma main. À hauteur de mon visage, une bosse déformait son jean. C’est lui qui rompit le silence.
    
    — Vous êtes belle…
    — Seb…
    — Ne dites rien ! Je sais que je ne suis qu’un gamin pour vous mais ce matin, devant votre fenêtre… Et ...
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