1. Dérapages. 03


    Datte: 08/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... chienne, laisse moi te sucer, tu verras, avec la bite pleine de bave ça rentrera mieux. Comme pour moi!
    
    Décidément, Manon m'étonne. Je pose ma bite sur la fesse droite de Clara.
    
    - Fais-toi plaisir!
    
    Ma belle-fille se penche en avant, elle ouvre la bouche. J'y enfonce ma bite, qu'elle s'empresse de mouiller de salive. Au bout de quelques secondes elle retire sa bouche de mon pieu.
    
    - Vas-y, cela sera largement suffisant pour que ça rentre!
    
    Manon a fait du bon boulot, ma bite est bien lubrifiée, mais juste ce qu'il faut pour faciliter la pénétration, vraiment pas assez pour diminuer la souffrance, qui se profile, de Carla. Ma compagne n'a pas cessé de supplier, mais ni Manon, ni moi, n'avons répondu à ses supplique. Pour tout dire, on ne les a même pas écoutés. Je remet donc mon mandrin entre les fesses merveilleuse de Carla. A ce moment précis, je n'ai plus aucun sentiments pour elle. Carla n'est plus humaine, juste un morceau de chair destiné à me donner du plaisir. Un plaisir qui veux dire de la douleur pour elle. Je me remets donc à forcer pour la pénétrer. La salive fait son office, mon gland entre dans le trou du cul de ma belle. Accompagné d'un hurlement atroce de sa part, ainsi que d'une ruade qui manque désarçonné Manon. Je viens d'inventer le rodéo sexuel. Un second coup de reins, suivit d'un troisième achève de faire pénétrer en entier dans l'orifice vierge. Mon ventre se trouve contre ses fesses, mes couilles contre l'entrée de sa vulve. Je vous le ...
    ... confirme, les entrailles de ma compagne sont encore plus étroites que celles de Manon. Cela doit-être un tic de famille, car la mère contracte autant son intérieur que la fille. Carla agonise hurlant de douleur, suppliant. Tout son corps ne se résume plus qu'à son petit trou, tant la douleur qui émane de lui est puissante, violente, vrillante. Je viens de lui dépuceler l'anus de la plus terrible des façons. Je reste quelques secondes immobile dans le corps de ma victime. Corps qui est secoué de spasme sous l'effet de la souffrance.
    
    - Sors, Léo, par pitié, sors!
    
    - Non.
    
    - Je ferais ce que tu veux. Je te le jure, je ferais tout ce que tu veux. Je ne te refuserais plus rien, je te le promet!
    
    - Trop tard!
    
    - Non! Non! Je t'aime encore, tu pourras me baiser tout les jours. Mais arrête, par pitié, arrête, tu vas me tuer!
    
    - C'est vrai?
    
    - Juré! Tu pourras même me baiser plusieurs fois par jour! Si tu arrête de m'enculer, je serais la meilleur femme que l'on puisse rêver! Tu pourras même continuer à coucher avec Manon!
    
    L'offre est tentante, j'ai rêvé qu'elle me dise cela tellement souvent! Sauf en ce qui concerne Manon, je n'ai jamais fantasmé sur elle avant que je ne la dépucelle.
    
    - Tu me le jure vraiment Carla?
    
    - Oui, je te le jure sur tout ce que j'ai.
    
    - D'accord, on va essayer. Mais au premier refus, je t'encule de nouveau!
    
    - Ce que tu veux! Tout ce que tu veux, mais sors, par pitié, sors.
    
    Je commence alors à me retirer lentement, faisant ressortir ...