1. La suppliciée (2)


    Datte: 07/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    Non, François ne pouvait pas permettre ce genre de truc ! Pas pour une partie de carte perdue, quel qu’en fut l’enjeu et l’argent dû. Il ne pouvait pas… ce n’était pas possible. L’atmosphère était devenue étouffante pour elle. Maud aurait aimé au moins percevoir un bruit, un soupir, un signe qui la rassurerait. Mais rien de tout ceci, juste le minuscule bruissement des mains qui continuaient à glisser sur son corps huilé. C’était le souffle d’un homme entièrement couché sur elle qui la ramenait à sa triste réalité. Il ne se contentait plus de la masser avec les mains, c’était l’ensemble de tout son corps masculin qui participait à ce gigantesque massage. Cette chose dont elle se demandait… elle savait désormais avec justesse de quoi il s’agissait.
    
    Ce garçon, homme, difficile d’apprécier, lui soufflait sur le visage, il se lovait littéralement contre… non… sur elle. Elle pouvait deviner parmi toutes les senteurs qui se diffusaient partout dans la pièce, elle parvenait discerner avec exactitude la fragrance qu’il employait en guise d’après-rasage ou d’eau de toilette. Et son truc qui trainait sur elle restait dur comme de la pierre, chaud comme une braise. Il s’était coincé entre ses deux seins que les mains rapprochaient, formant ainsi un couloir où cette… ce… machin coulissait parfaitement. Il arrivait maintenant à buter contre son menton lors de chacune de ses montées entre ses deux obus maintenus par l’homme.
    
    Bien entendu elle se mettait à haleter sous cette caresse ...
    ... plus érotique que toutes les autres. Et l’autre sur elle qui se redressait, pressant de ses deux genoux sur le côté des nichons, pour garder dans ce corridor, la queue qui se promenait. Il lui avait saisi le chef, la boule de billard plutôt, d’une main et la forçait pratiquement à lever la tête. Elle savait bien ce qu’il voulait, mais mettait un point d’honneur à ne pas l’aider. Elle y serait parvenue parfaitement si soudain une troisième main n’avait faisait irruption sur son minou. Elle tentait de s’y soustraire. Mais ce n’était guère possible autant entravée qu’elle l’était.
    
    Les doigts de cette intruse trouvaient aisément l’ourlet totalement glabre depuis le passage du rasoir. Et comme elle ouvrait la bouche pour leur demander de cesser. Ses paroles se trouvaient immédiatement bloquées par la queue qui profitait de l’occasion pour quitter l’abri des seins et s’engouffrait dans le bec ouvert. Évidemment elle ne pouvait plus proférer une parole. Tout au fond de son ventre un majeur ou tout autre doigt farfouillait entre les lèvres qui laissaient le passage. Ce phallus miniature s’insérait en elle et sous sa poussée rectiligne elle se sentait obligée de sucer le sucre d’orge géant qui lui, frémissait de l’arrivée de sa langue.
    
    Elle avait l’impression que résonnaient dans la pièce les horribles bruits que faisait son ventre sous les allers et venues du micro pénis. Elle savait qu’elle était très humide et que désormais son corps, bien avant son esprit s’était rendu à ces ...
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