1. Maîtresse Viviane


    Datte: 20/01/2018, Catégories: hh, fhh, hsoumis, facial, Oral double, hdanus, Auteur: Eurydice Jenkins, Source: Revebebe

    ... me permit d’atteindre la sommité du plaisir.
    
    Ce jour-là, nous étions chez elle, un honneur, une première ! Elle était satisfaite de son servant, suffisamment pour lui permettre d’accéder au saint des saints, sa chambre.
    
    Et j’étais là, à quatre pattes sur la moquette, nu, le cul tourné vers le haut, et je sentais son doigt qui me fouillait par derrière.
    
    — Interdit de jouir sur mon tapis ! Compris ?
    — Oui, Maîtresse !
    — Bien ! Profites-en ! Je ne vais pas me fatiguer longtemps à te mettre un doigt, cochon ! Il va falloir que tu travailles un peu toi aussi ! Tu vas me bouffer la chatte, pas vrai ?
    — Oui, Maîtresse !
    
    En moins de deux secondes, elle s’était assise devant moi, jambes écartées, sa magnifique chatte totalement épilée et déjà gonflée devant mes yeux.
    
    Mais soudain tout mon corps gela. Qui dont pénétrait mes fesses, puisque Viviane était devant moi à m’offrir sa fente ?
    
    Elle rit.
    
    — Non, ne te retourne pas ! Je veux que tu ressentes le plaisir sans savoir d’où il vient. Pour l’instant, lèche-moi !
    
    Le doigt dans mon fondement était compétent, il entrait et sortait, m’écartait un peu la rondelle, pénétrait juste ce qu’il fallait pour me caresser l’intérieur…
    
    — Tu vois, me dit Viviane, déjà enrouée par le plaisir qui montait, je tiens toujours mes promesses ! Tu voulais le faire à trois, avec une autre femme, pas vrai ?
    
    Je décollai ma bouche quelques secondes de ses lèvres intimes pour lui répondre :
    
    — Oui Maîtresse, effectivement, vous ...
    ... me l’aviez promis.
    — Eh bien ce n’est pas aujourd’hui, regarde qui t’encule !
    
    Je détournai la tête.
    
    C’était un homme qui se tenait derrière moi, l’une de ses mains posée sur mes fesses, écartant les globes, et l’autre, un doigt tendu, me pénétrant.
    
    Ma queue bandée s’effondra. J’essayai de me relever, mais ma Maîtresse fut inflexible
    
    — Non ! Tu obéis ! Ne t’en fais pas, aujourd’hui, il ne te mettra que son doigt. Sa queue, ça sera pour plus tard, lorsque tu seras suffisamment élargi pour le recevoir sans qu’il te déchire ! Mais pour l’instant tu le laisses te baiser comme ça ! Et tu y prends plaisir, c’est un ordre !
    — Bien Maîtresse !
    
    Mais bientôt elle se fatigua, alors elle décida de changer les choses, de rendre la situation plus plaisante… pour elle.
    
    — Tu me dois toujours une offense ! me dit-elle soudain.
    
    Elle avait raison. À notre dernière rencontre, elle m’avait si bien traité le cul que j’avais de nouveau joui hors de propos. Elle était assise au bord du lit, moi debout devant elle, la queue tendue, presque au niveau de sa bouche. Elle avait saisi mon gland quelques instant entre ses lèvres, m’avait un peu léché, mais, avant de me faire jouir, m’avait dit d’écarter les jambes. Alors elle avait glissé sa main entre mes cuisses et, en remontant, m’avait pénétré de son majeur.
    
    La regarder dans les yeux, me dominant ainsi, alors que je ressentais tant de plaisir était fabuleux. Alors elle avait déposé un léger baiser sur la pointe de mon sexe, sur ...