Ah, les bon copains !
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
Bien avant que je ne cherche à enquêter sur le passé de mon épouse, il est arrivé, dans certaines circonstances, que j'apprenne certaines choses sur elle, sans aucunement l'avoir sollicité. Peut-être est-ce d'ailleurs à cause de ces découvertes qui m'ont fait deviner très tôt quelle belle femme avide de sexe, elle était, que j'ai été attiré vers elle.
Agnès qui avait quitté la région Parisienne huit mois plus tôt, venait de s'installer à Bar sur Aube et je n'étais alors allé la voir qu'une seule fois. Bien sûr je la connaissais depuis plusieurs années, puisqu'elle avait été, bien que peu de temps, l'épouse de mon meilleur ami Antonin, mais peut-être à cause du fait que pour moi, l'amitié a toujours été sacrée, je n'avais rien éprouvé alors à son égard... Ma première visite à Bar sur Aube avait été à la fois une révélation de mon attirance pour elle, mais aussi un fiasco, puisque mes toutes premières avances (premières et très discrètes), avaient été assez nettement repoussées par elle. J'avais alors fait marche arrière et préféré ne pas insister, du moins pour le moment. En me faisant discret je pouvais continuer à la voir en "amie" alors qu'en insistant, je craignais qu'elle ne veuille plus me revoir du tout....
A cette époque, je travaillais encore à Paris où je m'occupais de la formation de travailleurs sociaux. C'est dans ce cadre professionnel que je fus amené à me rendre à Strasbourg avec trois autres collègues, pour participer à un congrès. Notre séjour ne devait ...
... durer qu'une semaine et afin de minimiser les frais, nous avions décidé de n'aller à Strasbourg qu'avec une seule voiture. Cela m'ennuyait quand même un peu de passer si près d'Agnès sans passer la voir, et je dis à mes amis que j'avais une amie dans la région et que j'aurais aimé lui rendre visite au passage. Comme nous ne devions arriver à Strasbourg que le lendemain, mes collègues n'y virent aucun inconvénient. Je profitais d'une halte sur une aire de repos pour téléphoner à Agnès et l'avertir de notre passage. De toute évidence, cette visite ne l'enchantait guère mais comme nous n'étions plus très loin, elle se retrouva un peu au pied du mur et finit par accepter, en s'excusant néanmoins par avance, de ne pouvoir nous retenir à dîner ce soir-là car elle était, parait-il, invitée.
Elle nous reçut correctement, mais sans enthousiasme... Il était un peu tôt dans l'après-midi mais elle nous servit l'apéritif, nous priant de l'excuser, car elle était obligée de reprendre sa tournée du soir dès 17 h 30, et comme elle me l'avait dit au téléphone, n'étant pas libre ce soir-là.
Mes collègues, qui étaient plutôt du genre sans complexe, rivalisèrent de plaisanteries... Agnès fit bonne figure, riant à leurs plaisanteries pas toujours bonnes. Il n'y a que moi, qui la connaissais, qui me rendit compte qu'elle se forçait quelque peu et n'avait qu'une envie : nous voir partir au plus vite!... Au moment des adieux, elle me lança d'ailleurs un regard noir qui me confirma que j'avais ...