1. Je me fais défoncer par mon oncle (23)


    Datte: 07/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: tomflavie, Source: Xstory

    Oui, une putain de salope ! Voilà ce que j’étais... et ça me plaisait de plus en plus !
    
    Je continuais de faire valser mon cul sur l’énorme bosse que je sentais sous la soutane du curé. Après un court moment, il se recula un peu.
    
    — Tu vas me faire jouir, petite pute !
    
    — Vous aimez mes gros nichons, mon père ?
    
    — Putain, oui ! Tu aimes ma queue ?
    
    — Oui, mon père. On vous l’a déjà sucée, votre grosse bite ?
    
    Je l’entendais respirer très fort dans mon oreille.
    
    — Non, jamais... Tu aimes sucer des grosses queues, hein petite pute ?
    
    — Mmmmmm... Ça m’excite quand vous me traitez de petite pute... Oui, j’adore sucer...
    
    Il recolla sa bite sur mon cul et maintenant, c’est lui qui faisait un mouvement avec son bassin. Je doigtais toujours ma chatte de plus en plus vite. J’y enfonçai trois doigts en faisant rouler ma main dont la paume frottait mon clitoris. On entendait clairement le clapotis caractéristique de la chatte inondée qui se fait malmener.
    
    Il maniait mes nichons avec rudesse et pinçait mes tétons très fort, ce qui me faisait pousser de petits cris de douleur entrecoupés de longs soupirs de plaisir.
    
    — Vous voulez me fourrer, mon père ? Vous aimeriez défoncer ma petite chatte avec votre grosse bite ? Elle est bien lubrifiée maintenant, ma petite fente... Putain, c’est bon cette queue sur mon cul...
    
    — Putain, oui ! Petite chienne, je vais te déchirer !
    
    J’étais très près de jouir et de demander à un prêtre de me bourrer la moule, m’excitais au ...
    ... plus haut point et ça me fit jouir.
    
    — Nom de Dieu mon père... je vais... jouir..... Aaaaahhhhhhh !!!! Putain !!!!
    
    En extase, je remontai ma main mouillée de cyprine et la léchai avec délectation.
    
    — T’es une vraie salope toi...
    
    — Oh oui, mon père, une vraie de vraie salope !
    
    Il laissa mes nichons, non sans leur avoir d’abord donné quelques bonnes claques, et se leva debout derrière moi.
    
    — Continue de te branler et caresse tes nichons, salope.
    
    Je l’entendais gronder derrière moi.
    
    — C’est bien... t’es une bonne petite pute.
    
    Toujours en me doigtant, j’approchai un de mes tétons de ma bouche pour le lécher et le sucer. J’en mordillai le bout en gémissant.
    
    — Oui, continue. Ne t’arrête pas... Ça m’excite de te voir faire la pute...
    
    Tout à coup, je sentis une masse sur mon épaule droite. Je tentai de tourner mon visage quelque peu, mais il colla sa bite dans mon cou et de sa main sur ma joue gauche, poussa ma tête pour serrer sa queue entre ma joue droite et mon épaule et ainsi créer un compartiment qui enserra sa matraque. Il fit un mouvement de va-et-vient comme s’il « fourrait » mon cou. Ma langue sortie tenta de lécher le gland, que je devinai, mais ne vit pas, à chaque passage.
    
    C’était un peu maladroit comme procédé, mais pardonnable pour quelqu’un qui n’avait jamais été avec une femme. Je le laissai aller quelques instants et sentant qu’il ne savait trop quoi faire, je pris le contrôle.
    
    — Laissez-moi faire, mon père.
    
    Toujours à genoux ...
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