Coincé - Histoires de Sexe

Coincé

... jogging, Adeline et moi avons un peu parlé de sexe. On a beaucoup rigolé. Adeline a voulu me montrer ses toys et nous sommes montées dans votre chambre.
— Oui, elle m’en a parlé hier soir. Paraît que tu étais très intéressée, mais elle n’a pas voulu m’en dire plus.
— Oui, c’est vrai. On s’est bien amusées, tu sais.

Je vois un sourire un peu gêné illuminer son visage d’ange.

— C’est comme ça que je sais où ils sont cachés, poursuit-elle. Ce matin, comme Adeline était partie faire les courses et que tu travaillais au jardin, j’ai regardé un porno sur Internet. Les actrices utilisaient des sextoys. Ça m’a excitée. J’ai voulu testé et je suis allée prendre ceux qui me plaisaient le plus dans votre chambre. Je comptais bien les y remettre après, tu sais. J’en avais déjà essayé deux petits quand j’ai pris celui avec une forme un peu spéciale : deux grosses boules et un bijou au bout, avec un anneau pour le retirer.
— Oui, je vois, dis-je peu rassuré quant à la suite.
— Je l’ai enfoncé en moi. Pas facile. Ça a pris du temps et ça me faisait un peu mal, mais il est finalement entré complètement. C’était bon quand même, tu sais.
— Adeline l’aime beaucoup aussi.
— Puis, j’ai voulu l’enlever pour essayer le dernier gode. Mais tout à coup, l’anneau s’est cassé. Impossible de retirer le truc ! J’ai essayé encore et encore. Rien à faire ! Je devenais dingue : j’ai paniqué et pleuré. Finalement, je suis descendue te voir. Voilà. Faut que tu m’aides, Martin, seule, je n’y arrive ...

... pas.

Je suis bien un peu embarrassé, mais que voulez-vous, je ne peux vraiment pas me soustraire à mon devoir d’hôte et protecteur. On est gentleman ou on ne l’est pas !

— Ok, montons voir ça dans ta chambre, veux-tu ? Ce sera plus discret qu’ici sur la terrasse.

Femke tourne aussitôt les talons et se précipite vers les escaliers avec une dégaine un peu bizarre. Arrivés dans la chambre, j’aperçois divers godes de ma femme étalés sur le lit de la jeune fille. Je dois cependant rester aussi flegmatique que possible pour ne pas effrayer Femke.

— Eh bien, montre-moi ça, si tu veux.

Femke me dévisage avec ses beaux yeux bleus, semblant ne pas comprendre le message.

— Si tu veux que je t’aide, il faudra bien m’en montrer un peu plus.
— Tu promets de ne rien dire à maman, hein ! J’ai tellement honte !

J’affiche alors un sourire rassurant :

— Promis, juré, Femke. Ta maman n’en saura rien ! Raconte-moi ce qui s’est passé.

Pas facile de garder son calme dans de telles circonstances et je dois avouer que mon bas-ventre se manifeste de plus en plus, imaginant la suite.

— Quelle sensation spéciale d’avoir cette chose en moi ! Surtout en montant l’escalier ! Adeline m’a dit que c’est son jouet préféré. Je comprends pourquoi maintenant. On se sent vraiment bien avec ça dans son corps !

Je vois l’excitation apparaître sur son visage.

— Bien, bien, ma fille, à ce que je vois, ça a dû être une sacrée expérience, surtout pour une première fois.
— Oui, mais ...