Le Bar à travelos ( par Edvard Stokien)
Datte: 06/07/2020,
Catégories:
Gay
Transexuels
Anal
Auteur: M-Arena17, Source: xHamster
Cette histoire classique me fait toujours bander c’est pourquoi je me suis permis de l’emprunter. Je recherche toujours ce bar si sympathique si quelqu’un le connaît il faut me l’indiquer...
C’est en discutant sur Internet que j’ai eu connaissance de cette adresse, il s’agissait d’un restaurant de quartier à Paris. Travaillant avec une clientèle de bureau, il fermait le week-end. Et le samedi soir se transformait en boîte à travelos.
Il y a longtemps que je rêvais de réaliser mes phantasmes avec des transsexuels. C’était l’occasion ou jamais. Je m’y rendis donc. Arrivé sur place je m’acquittai du prix demandé, et première surprise, le préposé à l’entrée m’en demande le double. Comme je m’en étonne, il m’explique que l’entrée simple ne donne pas droit à l’entrée de l’arrière-salle, là où ont lieu les débats les plus hards, me dira-t-il ! Bon ! Je ne vais pas reculer maintenant. Je paye, le gardien me colle deux coups de tampons sur le dos des mains et j’entre.
Il doit y avoir une trentaine de personnes, peu de transsexuelles, mais les quelques-unes présentes sont des merveilles. Je saurais plus tard leurs noms. L’une d’entre elle (Lisa), de race noire, trône au bar sur un haut tabouret, elle est vêtue d’une robe super décolletée et très moulante, fendue sur le côté, elle discute avec une copine à la peau plus claire (Vanity) qui, elle, est vêtue d’une mini-jupe et d’une sorte de mini pull noir à large maille ne cachant rien de sa merveilleuse poitrine. Un peu ...
... plus loin, une autre, coiffée de ravissantes boucles blondes (Christy), est habillée en pantalon vert fluo qui lui moule les fesses, le haut étant constitué d’un corsage en voile noir semi-transparent.
Inutile de vous dire que ces visions de rêve m’excitent au plus haut point. J’ignore comment les choses se passent, ici, et je décide de m’attabler en attendant la suite.
— Vous permettez que je m’installe près de vous ?
Allons, bon ! qui est ce casse-pied ? Il ne s’agit pas d’un transsexuel, mais d’un travesti, j’espère que je ne me suis pas fait avoir en pénétrant dans une boîte à entraîneuses, le genre d’établissement où on vous fait consommer très cher en vous promettant la lune et en ne vous donnant rien.
— Qu’est-ce qu’il fait chaud ce soir !
Voilà qui s’appelle avoir de la conversation. Je décide d’avoir une attitude de grognon pour faire partir l’indésirable, mais je me dis qu’après tout, je vais pouvoir me renseigner sur les habitudes du lieu, quitte à lui demander d’aller voir ailleurs, si ça ne tourne pas comme je veux !
— Je suis nouveau et je suis un peu perdu !
— Je vois bien ! Alors vous me trouvez comment ?
Il faut dire que le type est superbement maquillé, il manque malgré tout le petit truc en plus, qui fait que si les transsexuels m’excitent presque toujours, les travestis m’attirent beaucoup moins. Mais un certain trouble commence à m’envahir. Le type me raconte un tas de banalité. Qu’il a dû refaire deux fois son maquillage, que ses ...