1. COLLECTIONS LIBERTINAGE. Nos erreurs (1/1)


    Datte: 06/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Ma chance a commencé le jour où j’ai rencontré Elvire jeune fille de 19 ans alors que j’en avais 25.
    
    C’est à l’occasion d’une petite sauterie offerte par notre patron pour fêter les 20 000 clients payants venants de s’inscrire sur notre site de rencontres qu’il nous a présenté la nouvelle employée qu’il venait d’embaucher le jour même.
    
    Elle sortait directement de son école ou elle venait d’acquérir son BTS en informatique de gestion et devait grossir nos rangs, car ce nombre atteint nous donnait à chacun une part de travail supplémentaire.
    
    Nicolas notre patron légèrement plus vieux que nous m’a confié son éducation au sein de notre boîte.
    
    Une vraie chipie, dès les premières minutes, j’ai su que cette fille m’indisposait avec ses grands yeux verts et sa chevelure blonde tombant en cascade sur ses épaules.
    
    Trop belle et trop surfaite, une vraie poupée Barbie.
    
    Chipie, car les premiers moments, elle n’a eu de cesse de me mettre ses seins sous le nez chaque fois qu’elle se penchait pour un oui ou pour un non.
    
    Pour son premier jour, elle avait mis un chemisier à la limite de l’indécence et je savais pertinemment que Nicolas l’avait embauché pour les charmes qu’elle lui avait présentés lors de son audition d’embauche.
    
    Si on m’a confié son introduction dans notre société, c’est qu’il savait que j’avais horreur de ce genre de fille surfaite.
    
    Il savait que pour moi, la fille idéale était certes les filles aussi longilignes qu’Elvire, mais avec moins de ...
    ... poitrines et surtout des cheveux auburn et plus proches de mon âge.
    
    Il savait tout cela, car j’avais été dans la même école que lui et il m’avait servie de tuteur pour ma formation en entreprise avant de m’embaucher dès que j’avais eu mon diplôme.
    
    Nous étions très proches, je savais qu’il courrait les filles chaque fois qu’il le pouvait bien qu’il soit marié depuis cinq ans à Jennifer magnifique métisse Guadeloupéenne.
    
    Chaque fois qu’il est sur un nouveau coup, je lui sers de chaperon dans les boîtes où ils les emmènent.
    
    C’est encore le cas avec Elvire qu’il invite le samedi suivant au restaurant après m’avoir tout de même demandée, si j’étais libre.
    
    Elle se savait en période d’essai, l’emploi permanent étant si dur à acquérir par ces temps de chômage, même si elle avait un peu joué de ses charmes pour avoir le poste.
    
    Quand elle nous rejoint, c’est une jeune femme complétement différente par son habillement, sa coiffure et surtout son maquillage, faisant moins pute, que les jours de travail.
    
    Un jean avec genoux percés, des baskets éculées avec la seule touche un peu érotique un débardeur mettant ses seins un peu en valeur, mais comment pouvait-elle faire autrement avec les obus que la nature lui a donnés.
    
    Au restaurant chaque fois que Nicolas essaye de se placer, elle lui répond avec beaucoup d’intelligence et je sens que son plan cul s’éloigne de lui.
    
    Il tente une dernière manœuvre en nous emmenant dans une boîte, mais il choisit un endroit trop sélect ...
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