Susan la pute du bureau Ch. 02
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... outils extrêmement bruyantes.
Ces machines crachaient des flammes et de la fumée et pulsaient sur des rythmes totalement incohérents. Ce rythme que semblait adopter son baiseur. Ma combinaison des lumières fluorescentes du plafond, des flammes oranges et des voyants multicolores des machines faisaient baigner cet univers particulier dans une étrange luminosité diffuse. Susan jeta un regard sur son environnement sale et bruyant, et les innombrables cris et sifflets des hommes qui la reluquaient, puis sa tête fut tournée de coté et quelqu'un plongea une bite malodorante dans sa bouche.
Elle suçait et baisait alors qu'on lui malaxait durement les nibards sur la bande inconfortable du convoyeur.
Lorsque le colosse qui la grimpait eut projeté une bonne dose de se-mence au fin fond de sa foufoune, il se retira et fut immédiatement rem-placé par un second amateur alors qu'une queue de gens attendant de la fourrer se formait.
Il y eut un trapu chauve de type hispanique qui baragouinait l'espagnol avec une grosse moustache, puis un vieillard aux cheveux gris qui n'avait plus de dents, un colosse noir musclé qui portait des dreadlocks et était doté d'une énorme mentule, un jeune polonais, un autre immigré venant de l'Est européen, l'homme tatoué porteur de piercings, un obèse pesant au moins 150 kg avec son énorme panse. Beaucoup portaient des piercings et des tatouages dans des endroits inimaginables!
Elle accueillit des hommes de toutes tailles, des bites de toutes ...
... formes et couleurs, des toisons de textures extrêmement différentes entre ses cuisses et ses lèvres, ils projetaient leur semence sur son torse, son vi-sage et son estomac.
Elle avait cessé de se débattre, personne ne lui tenait plus les bras. En fait ils poussaient leurs grosses bites en elle se laissait faire passive. Pa-rallèlement elle branlait énergiquement des bites, lorsqu'elle refusait de s'exécuter on lui malmenait durement les nibards.
Il n'y avait aucune variété, une foule de travailleurs la baisait en bouche et en chatte. La queue des amateurs attendant leur tour semblait inter-minable.
On se croirait en l'enfer, pensait Susan.
Elle pensait vraiment que c'était une bonne image de l'enfer.
L'obscurité, le feu, la fumée, la chaleur et le bruit, l'impression d'étouffer, tout y était.
Et le rire tonitruant des ces monstres qui se tenaient en ligne en atten-dant de se servir de sa bouche et de sa chatte, et ces nombreuses mains palpant ses chairs. Un véritable enfer.
Avec la première demi-douzaine de baiseurs qu'elle dut subir, elle apprit comment détendre ses muscles vaginaux pour en garder le contrôle.
Elle se rappelait ce que leur disait leur entraîneur de basket :
-Si vous vous faites violer, le mieux c'est de vous étendre sur le dos et de prendre votre pied!
Elle était allongée sur le dos et elle subissait ce viol, elle pensait que si elle ne se débattait pas, sa chatoune resterait détrempée et elle pourrait prendre un certain plaisir ...