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La réversibilité de la métamorphose
Datte: 05/07/2020, Catégories: fh, jeunes, grosseins, hotel, fsoumise, fdomine, jalousie, pénétratio, conte, fantastiqu, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe
... yeux de la sœur de Marie-Agnès. Caroline inspira profondément en serrant les dents et elle fit son shopping dans l’armoire. Soudainement, Lucie ouvrit les paupières… Ses doigts se plantèrent dans la couette qu’elle tira jusqu’à son petit menton. Ses mains tremblaient et son regard cherchait un lieu où se réfugier. Après quelques secondes, elle s’intrigua en constatant cette femme estimer précisément quelques robes, pantalons et pulls pour les ranger dans son gros sac. Lucie se dressa sur les coudes, le sommier craqua et Caroline tourna les yeux vers l’étrangère. — Vous avez le sommeil profond ! Lucie n’argumenta pas et à demi-nue, elle glissa hors du lit. Elle remua ses jambes encore endormies et se souvint de ses étranges paralysies de la nuit. Caroline ferma son sac et se tourna vers Lucie. Austère, elle détailla le visage sibyllin, la poitrine et la jeunesse de celle qui aurait pu être sa fille. — Qui êtes-vous ? Que faites-vous chez ma sœur ? Les jambes de Lucie la soutenaient mieux. Tremblotante, elle croisa ses bras et suivit du regard celle qui avançait vers elle. — Je m’appelle Lucie. Vous êtes la femme que Sébastien a fait gémir en bas ? — Comment ça ? — Je reconnais votre voix. Caroline fronça les sourcils et braqua les yeux sur sa rivale. — Je suis la nièce de Sébastien. — Ne me prenez pas pour une conne ! Vous êtes une prostituée, n’est-ce pas ? — Non ! C’est vous qui vous donnez sans amour. — Ne me répondez pas ! C’est ...
... dégoûtant ! Caroline appréciait sa supériorité et elle mit Lucie au défi de la regarder. — Tu as quel âge ? — Si je vous le dis, vous n’allez pas être contente… Caroline soupira… La jeune novice tenta de défier Caroline, mais son regard ne le pouvait pas. — Je suis venue chercher quelques habits appartenant à ma sœur. Vous rendez-vous compte que vous avez détruit un couple ? Lucie releva les yeux. — Ce n’est pas vrai ! — Ils étaient un modèle. Marie-Agnès est une grande journaliste et dans quelque temps, elle fera sûrement le « Vingt heures » ! Vous foutez tout en l’air ! — Il ne l’aime plus ! — Tais-toi ! Avec ta bouche et tes gros seins, tu dois leur tourner la tête à tes amants… Caroline vint devant la briseuse de couple. Elle tendit sa bouche vers celle de Lucie, mais ce ne fut que pour être équivoque. — As-tu aimé le sentir en toi ? Te baiser ? — Cela ne vous regarde pas. — Tu préfères quand il est tendre avec toi ou quand il est un peu brutal ? Les doigts de Caroline effleurèrent les cheveux de Lucie qui fit un pas de côté. — Reste ici ! Je sens que tu l’as sucé et qu’il a joui dans ta bouche. Tu dois être une professionnelle. — Sébastien, il m’aime. On partira lui et moi, loin de vous et de votre méchanceté. — L’amour !? (elle pouffa) Qu’est-ce que tu y connais à l’amour ? Que ne feraient-ils pas pour nous prendre à quatre pattes ? Naïvement, Lucie l’écouta… — Mais ma chérie, les hommes sont pleins de tension ! Ils aiment les femmes ...