Cadeau de mariage
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
préservati,
hplusag,
Auteur: Noursette, Source: Revebebe
... langue… Néanmoins, il aimerait bien que je lui rende la pareille. Il est toujours habillé et je me rends compte que j’ai joué les égoïstes sur ce coup-là. Pour me faire pardonner mon oubli, je sors son sexe de son pantalon. C’est vrai que la taille est dans une petite moyenne et que la dureté laisse à désirer, mais j’entreprends de lui redonner vigueur et je commence à le sucer lentement. Je commence par son gland, je passe ma langue en grands mouvements lents avant d’en venir à de petits mouvements rapides, ensuite j’aspire. Il se recule d’un bond et me dit :
— C’est tout, si tu continues… je vais venir trop tôt.
Après quelques secondes, il m’a demandé de recommencer. On s’est arrêté plusieurs fois ainsi avant que je ne lui enfile un préservatif. C’était la première fois qu’il utilisait une capote. Il est venu s’empaler en moi et a éjaculé en quelques minutes à peine. C’est vrai que je n’ai pas ressenti grand-chose sur un plan physique à ce moment-là, mais c’était tellement important à mes yeux qu’il soit venu en moi, que j’étais entièrement satisfaite.
J’ai vu Patrick pendant un an environ, à raison de deux fois par mois en moyenne. À chaque fois que j’entrais dans son bureau, l’excitation était à son comble aussi bien pour lui que pour moi. Je prenais des nouvelles de son fils qui ramait dans les études, on parlait un peu boulot avant de se sauter dessus comme des bêtes en rut. Ma position préférée, c’était quand j’étais assise sur son bureau et que lui était ...
... debout devant moi. Il m’a dit avoir gardé un très bon souvenir de la table de son bureau, mais là c’est surtout mon dos qui s’en souvient et qui n’a pas apprécié des masses.
Un samedi parmi tant d’autres, alors qu’il se préparait à me pénétrer de nouveau, je le vois hésitant. En me caressant avec les doigts, en me préparant à la suite, ses doigts se dirigèrent hésitants vers mon petit trou. J’ai commencé à me dandiner un peu et à pousser de profonds soupirs. C’est ainsi que timidement il me dit :
— J’ai envie de passer par là… Je peux essayer ?
Il ne l’avait jamais fait et mon expérience dans le domaine était assez restreinte. J’avais été tentée plus d’une fois, j’avais essayé, mais j’avais mal et je ne persévérais pas longtemps. Je me suis dit qu’avec Patrick et sa taille raisonnable, je pouvais tenter l’expérience sans crainte. Il était très doux et toujours à mon écoute, je savais qu’il ferait attention. J’ai placé son sexe moi-même devant l’entrée aveugle, lui demandant de ne pas donner des coups, juste de forcer le passage en poussant de manière continue. Il a mis mes conseils à exécution comme s’il s’agissait d’ordres et, en bon petit soldat, est arrivé au bout de sa mission. Il m’a dit que jamais il n’oublierait ces moments que je lui avais permis de vivre, qu’il était le plus heureux des hommes…
Patrick me manque aujourd’hui encore. On ne s’est jamais vraiment quittés. Pas de dispute, pas de cris, pas de larmes. Non, rien de tout ça.
Je me rappelle très ...