1. L'Anomalie de Mère Nature (1)


    Datte: 05/07/2020, Catégories: Transexuels Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... trop.
    
    Sans m’en rendre compte vraiment, mes pas m’ont conduit vers le quartier « arabe » de notre ville, où j’errais en songeant à tout ce que ce médecin m’avait dit.
    
    Assis sur un banc, dans un parc un peu éloigné, absorbé à réfléchir, un homme s’est assis à mes côtés... Très mat, 30 ans j’aurais dit, et arabe, c’est sûr. Ses poils dépassaient de partout et son corps dégageait une odeur très forte, de mâle, empli de toute la testostérone que je n’avais pas.
    
    Il a vu mon air triste, et dans un sourire de ses dents éclatantes, il m’a pris dans ses bras et a déposé un baiser sur mes lèvres. Dans un mauvais français, il m’a demandé de le suivre, vers un bosquet complètement caché, en me disant qu’il ne voulait pas me sentir malheureux.
    
    Il m’a allongé et m’a couvert de ses lèvres, ses mains partout sur mon corps, commençant à s’insinuer dans mon short. Il allait voir que sous mes apparences masculines, je n’étais pas le jeune garçon qu’il cherchait sans doute, mais qu’entre mes cuisses, il n’y avait pas un zeb, mais un vagin, je voulais m’enfuir...
    
    Il m’a maintenu contre lui et a investi ses doigts dans mon slip, découvrant ma chatte, bien humide à la suite de son corps si viril contre le mien. Après des mots d’arabe incompréhensibles pour moi, il m’a dénudé, avec une réelle surprise, mais aussi un plaisir évident, et ses lèvres se sont approchées de ma fente, la léchant, ses doigts masturbant mon clito, se ...
    ... heurtant à mon hymen.
    
    Il s’est mis nu devant moi, dévoilant un corps, poilu comme un singe, même dans le dos, et avec au milieu, ce qui me paraissait... un tronc d’arbre... Hyper-longue, très large, avec un sac de couilles qui pendait loin entre ses cuisses velues.
    
    Très vite, ce membre qui me paraissait hors-norme, et qui l’était, a franchi la barrière de ma bouche... Ses bras forçaient pour ouvrir mes cuisses... Et sa langue a écarté mes lèvres vaginales, en cherchant à aller plus loin, mais bloquées par la membrane qui l’empêchait de poursuivre ;
    
    — Vierge ?
    
    — Oui.
    
    — Pas longtemps.
    
    Et son gland, énorme a frotté cet orifice, si aimé, mais encore si inconnu pour moi...
    
    J’ai ressenti d’un coup une énorme douleur, quelque chose se déchirer en moi et un pieu de chair s’enfonçant, encore et encore, jusqu’à la limite de la cavité que la Nature m’avait donnée. Ahmed m’a possédé plusieurs fois en cette nuit magique, je ne sais combien, mais à chaque fois, à chaque éjaculation que je sentais se déverser dans moi, j’avais compris que si mon corps, lui, était encore masculin, le vagin que j’avais entre les cuisses était mon vrai sexe...
    
    J’avais perdu mon pucelage sous les coups de boutoir d’une verge, dont la taille exceptionnelle m’avait rendue femme, et dont la semence s’écoulait sur mes cuisses.
    
    Comment gérer ça, et c’est avec impatience que j’attendais mon futur Rendez-Vous avec mon Endocrinologue... 
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