Marine à la plage
Datte: 05/07/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
vacances,
plage,
chantage,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Sicetoke, Source: Revebebe
Il est deux heures du matin.
En cette douce nuit d’été, la lune renvoie ses reflets brillants sur une mer d’huile. Ses sandalettes à la main, vêtue d’une légère robe d’été, Marine marche au bord de l’eau. Les vaguelettes paisibles caressent ses chevilles. Elle se remémore sa soirée, la discothèque, les heures de danses frénétiques et sensuelles, la demi-douzaine de garçons qu’elle a allumée, avant de les abandonner lorsque le désir se faisait trop pressant.
Pour calmer la passion qui brûle encore en elle, quoi de mieux qu’une baignade dans cette mer si accueillante, si reposante ? À l’abri de deux barques échouées sur le sable, elle retire sa robe, son soutien-gorge et sa petite culotte. À peine cinq mètres à parcourir à découvert, avant de plonger dans l’eau rafraîchissante. Accroupie entre les barques, complètement nue, elle jette un coup d’œil à gauche puis à droite, avant de se précipiter au cœur de la grande bleue dans un « SPLASH » sonore. L’espace d’une seconde, les rares noctambules auraient pu apercevoir l’éclat blanc et brillant de ses chairs dénudées, ses fesses rondes, ses jolies jambes galbées et ses seins généreux se balançant de part et d’autre de sa poitrine.
Marine nage lentement, profitant de ces instants merveilleux. Ses fesses brillent sous la lumière de la lune à chaque fois qu’elle enfonce la tête sous l’eau. Et lorsqu’elle se retourne pour nager sur le dos, ce sont son torse et son ventre qui dessinent une merveilleuse tâche claire dans ...
... l’immensité sombre de la mer. Tandis qu’elle fait la planche, sa main glisse entre ses jambes pour caresser son abricot frémissant. Elle sent couler sur ses doigts profondément enfoncés dans sa chatte, un liquide bien plus chaud et épais que l’eau dans laquelle elle baigne… Elle commence à couler et est obligée de reprendre pied. Debout, les jambes écartées, la moitié des seins dépassant de la surface de l’eau, elle poursuit ses caresses et se met à jouir avec intensité.
Son plaisir est brusquement interrompu par la silhouette d’un homme qu’elle distingue à une vingtaine de mètres, assis sur l’une des barques. Elle se demande depuis combien de temps il est là et surtout combien de temps il compte rester. Un frisson parcourt ses chairs. Elle a froid à présent. Tant pis, elle n’a plus envie d’attendre, il faut qu’elle sorte. Au fur et à mesure qu’elle s’avance vers la plage, son corps d’albâtre surgit dans la lumière de la lune. D’abord ses seins magnifiques, sur lesquels brillent des milliers de gouttes d’eau, puis son ventre, large et ferme, enfin son pubis, au centre duquel se dessine un petit triangle de poils sombres, parfaitement taillés, et sous lequel s’ouvrent les chairs roses de sa bouche intime.
L’homme fume distraitement une cigarette, comme indifférent au spectacle de cette adorable sirène qui s’approche de lui dans son éclatante nudité. Elle passe à un mètre sans même le regarder, pour retrouver le petit tas de vêtements qu’elle a laissé entre les barques. Mais, à ...