1. Quelle soirée. (1)


    Datte: 05/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: YoLC, Source: Xstory

    ... regardé toute la soirée, je sais que tu sens mes culottes et que parfois tu m’as entendu à la maison quand je me faisais baiser. Nous sommes adultes et on a envie l’un de l’autre, je le sais, je le sens. Octroyons-nous cette pette soirée, elle restera dans notre jardin secret, entre toi et moi.
    
    Elle se tut et il lui mit une fessée, puis deux, puis trois, si fortes qu’elle avait les fesses rouges
    
    Elle me dit : Tu m’as entendu me faire baiser, tu me mates, tu rentres secrètement dans ma chambre, ce soir tu vas me baiser. Ne me ménage pas et tu vas me baiser comme l’une de tes petites copines.
    
    Tandis que je me relevais, elle était déjà face à moi, la bouche sous mes couilles, elle les léchait et me masturbait si fort que j’en avais mal, elle se mise à me cracher dessus, sa bave dégoulinait sur ma bite, je n’osais pas parler ni entreprendre. Elle me fixait des yeux, comme si elle me défiait, me testait.
    
    Ma mère était en train de me sucer comme une folle, elle prit tout ce qu’elle pouvait, ma bite, mes couilles, je bandais si dur qu’elle n’arrivait pas à tout avaler, elle me suçait encore et encore, délicatement et brutalement, elle me décalottait, aspirait mon gland, me crachait dessus, et elle suçait, elle ...
    ... suçait, elle suçait, elle n’arrêtait pas.
    
    Je n’avais qu’une crainte c’était de tout lui lâcher en pleine gueule tellement l’excitation était à son comble. J’étais tétanisé et je sais comment je suis, je suis excessif et j’avais peur de trop me laisser aller et de la prendre comme une sale pute sans respect que j’aurais prise de toute part sans ménagement. Je me laissais faire.
    
    Elle me dit : Tu aimes ? Je vais continuer bébé, tu me promets juste une chose, c’est de ne pas jouir, tu te retiens le plus longtemps possible, je veux ton jus sur le visage en fin de soirée, ok petit chat ?
    
    Je lui répondis : Oui maman, tu peux y aller, vas-y suce moi, je vais me retenir et je vais tout te donner, au stade on est rendu, on ne va pas s’arrêter là et tu mérites clairement que je m’occupe bien de toi.
    
    Je m’asseyais sur le canapé, elle se mit à rire et me pompa, elle suçait divinement bien. La lumière était tamisée, un peu de musique, nos verres de vin, ma mère était légèrement habillée avec sa jupe remontée, jambes écartées, je voyais tout dans le reflet du miroir. Elle me suçait et venait de se mettre un doigt dans le cul, elle gémissait, ça me rendait dingue et je buvais mon verre de vin.
    
    Et là patatras, l’interphone sonna. 
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