La palombière (2) - Histoires de Sexe

La palombière (2)

... me faire enfiler quelque chose, mes sensations me disent que je viens d’enfiler une sorte de baudrier. Qu’est-ce que Paul me préparait... ?? Il me fait rassoir et je sens deux sangles au niveau de mes genoux, il ligote mes mains au niveau des sangles. Les garçons me hissèrent encore une fois, je suis comme assise dans l’air avec les genoux et mes mains légèrement relevés à la hauteur du nombril. La position est très agréable. J’entends quelqu’un se placer juste en dessous de moi, serait-ce Marcel ?

— Tu veux qu’on enlève le bandeau ??

— Ho que oui.

Renaud me retire le bandeau et je peux distinctement voir Marcel juste en dessous de moi et cette fois-ci sa queue est en pleine érection, elle est magnifique mais tellement immense. Marcel me dévisage avec un regard qui en dit long. Mais je suis plongé dans ses yeux.

— Alors Clem on va te poser des questions et à chaque fois que tu te trompes on fait descendre le baudrier.

— Vivement que je me trompe dis-je en fixant Marcel.

— Quelle est la capitale du Bénin ?

— Aucune idée.

— Tant mieux nous non plus.

Le baudrier descend légèrement et je suis très proche de la queue de Marcel. Sa queue se gorge d’envie lui faisant gagner le centimètre nécessaire pour placer son gland à l’entrée de ma chatte trépidante et impatiente. Entre deux questions je vois une nouvelle fois Renaud qui prend des photos. Que devait penser ou ressentit Nicolle en voyant les photos. Je verrais bien plus tard.

— Qui a gagné la ...

... dernière coupe du monde de rugby ?

— Afrique du Sud ?

— Hé non

Les garçons descendent une nouvelle fois le baudrier, je ne pouvais que très peu bouger je sens à présent le gland bouillant de Marcel rentrer en moi.

— C’est bon !!

Marcel en profite pour onduler légèrement et rien que son gland en moi m’écarte de façon importante, et c’est vraiment bon.

— Une couleur du drapeau irlandais ?

— Rouge

— Non t’es trop nase !!

En effet, j’étais nulle mais mon esprit est troublé de cette imposante queue. Les garçons descendent une nouvelles fois le baudrier et la queue de Marcel me pénètre intensément, elle est si grosse que des petites douleurs me parviennent mais le simple fait de voir Marcel fermer les yeux de plaisir me rend folle. Je veux l’embrasser, je veux le caresser.

— Comment s’appelle le petit du sanglier ?

-Je m’en fiche les garçons, je veux baiser Marcel !!!Libérez-moi !!

Marcel hocha la tête et me voilà enfin dépourvue des liens. Ce qui me permet de venir chevaucher Marcel et de l’embrasser.

— Alors tu veux me baiser ?

— Ho que oui.

Je soulève légèrement l’une de mes jambes pour placer la queue de Marcel contre ma chatte mais je ne peux la reposer tant elle est gigantesque. Le fait de la reposer me fait sentir la queue de Marcel pénétrer en moi. Je ne veux pas le décevoir et ondule légèrement en essayant de descendre le long de sa queue à chaque fois un peu plus.

— Humm

— Putain c’est bon.

La queue de Marcel m’écarte ...