Albert, le routier, en Allemagne
Datte: 03/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Romainro, Source: Hds
J’ai réussi à faire travailler les méninges d’Albert, mon pote routier, et il s’est souvenu de cette histoire. Certes elle est un peu courte mais elle m’a bien excité alors pourquoi pas vous!
Cette fois encore je vais rentrer dans le personnage d’Albert et utiliser le « je » à sa place.
J’étais dans mon camion en direction de Hambourg, en Allemagne, je devais décharger de la poudre à l’usine Calgon. Quand j’arrive enfin à l’entrée de l’usine, il est plus de 19 heures et la grille est déjà fermée. Je descends de mon bahut pour aller sonner. J’attends un petit moment quand un mec vient enfin vers moi. Il doit avoir une quarantaine d’années, il est légèrement plus petit que moi, porte un costume avec un écusson d’une société de gardiennage, sa chemise est grande ouverte sur un torse poilu. Nos yeux se croisent et ne se quitte plus jusqu’à ce qu’il arrive à ma hauteur et ouvre la grille. Sans dire un mot il m’indique la balance. Pour ce genre de livraison, il y a toujours quelqu’un qui pèse le camion à l’entrée et à la sortie.
Je remonte dans mon camion et le déplace jusqu’à la bascule pour la pesée. Quand je redescends nous continuons à nous fixer sans ciller, puis il passe sa langue lentement sur ses lèvres. Maintenant c’est sa bouche que je fixe. Une fois la pesée fini, il me donne le formulaire pour que le vérifie et que je le signe. Dès qu’il à sa main libre, il m’attrape le paquet à travers mon jean. Je signe rapidement son papier et je fais la même chose. Le ...
... salaud à l’air d’être bien monté surtout s’il ne bande pas à fond, je le malaxe aussi à travers son pantalon. Sans lâcher prise il me demande si je parle allemand, heureusement pour moi je me débrouille bien dans cette langue alors il me demande:
« Jusqu’où du doit rouler ce soir? » tout en continuant à me faire malaxer la bite et à malaxer la sienne je lui répond qu’après avoir déchargé le camion je vais chercher un parking et m’y poser pour la nuit.
« Si tu veux il y a un garage à 500 mètres d’ici, je finis de travailler à 22H30 on peut s’y retrouver là bas et passer un petit moment ensemble. »
Il serre plus fort sa main autour de mon entrejambe mais j’arrive quand même à sortir un « Avec plaisir ». Il lâche son étreinte, je fais pareil, il dépose ses lèvres contre les miennes puis s’éloigne.
Je vais vider le camion, il est plus de 21H30 quand je me dirige vers la sortie avec mon camion, il est devant la grille. Pendant qu’elle s’ouvre il sort sa queue du pantalon, elle n’est pas très dur mais à une très belle taille et se caresse un peu en me faisant à nouveau courir sa langue sur ses lèvres. Une fois la grille entièrement ouverte, il range son matériel et me laisse passer. Quand j’arrive à sa hauteur je lui dit: « Viens dès que tu peux, je t’attendrai avec impatience ».
J’arrive au niveau du parking qu’il m’a indiqué. Je profite du temps que j’ai avant qu’il arrive pour casser la croute et faire un brin de toilette. Ensuite je retourne dans mon camion, je ferme ...