1. Le mari d'Audrey (1)


    Datte: 03/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: angenoir75, Source: Xstory

    ... la dégoûte maintenant. Cela lui permet de l’humilier encore plus, il est honteux, les larmes coulent sur son visage.
    
    Il est temps d’envoyer le mail. Comme preuve de son engagement, c’est lui qui doit appuyer sur le bouton d’envoi. Alors qu’il s’avance sans hésiter, comme dans un autre univers, elle le retient, lui intime l’ordre de bien regarder le mail. Il devient blanc, se contracte, ose la regarder, perdu. Audrey se demande si elle n’est pas allée trop loin, peur d’avoir tout gâché. Mais il la regarde intensément comme jamais, et sans plus hésiter, envoie le mail à Audrey, non pas sa Maîtresse, mais une très bonne amie qui connaît son univers pro et personnel, et Claire, une autre amie également personnelle et professionnelle. Il est définitivement grillé, il s’effondre complètement brisé par ce qu’il vient de faire pour elle.
    
    Après s’être parfaitement lavée, Audrey lui annonce qu’exceptionnellement ce soir il aura droit de dormir avec elle. Elle se souvient qu’elle lui avait déjà dit cela, mais n’avait pas tenu son engagement, mais cette fois-ci tout est différent. Elle sent comme il est complètement perdu, et après lui avoir mis le plus gros plug pour la nuit, elle le prend tendrement dans ses bras. Jamais auparavant il n’avait passé toute la nuit collée à elle, à profiter de la douceur et de la chaleur de sa peau.
    
    Le reste du week-end va être consacré à la suite de son dressage, il est important ...
    ... qu’Audrey impose sa marque et sa violence, qu’il sache bien que ce n’est pas au travers de la dresseuse qu’il lui appartient. Il doit également apprendre toutes les règles de sa vie dorénavant par cœur, et les coups de badines et de cravache se comptent par centaine, ses pleurs et ses cris se multiplient, mais Audrey est inflexible. Non qu’elle se force. C’est devenu naturel, après ce fort accès de tendresse après avoir envoyé l’email hier, elle sent comme enfin elle s’est ouverte sur elle-même, sur sa propre cruauté et surtout son exigence sans limites.
    
    L’esclave découvre qu’il n’a aucun espace de liberté et s’il espérait pouvoir profiter des journées de la semaine pour prendre ses aises, cela ne lui sera plus jamais possible, car il partira toutes les semaines en dressage comme la semaine qu’il vient de vivre. Jamais il n’aurait pensé qu’elle oserait. Il pensait qu’elle serait en manque de lui, et comme si elle l’avait deviné, elle lui explique qu’elle va s’ouvrir sur des amis et sans doute nouer des relations plus intimes. Cela n’a pas de sens d’être fou amoureux de son esclave, il était là pour la servir et vivre comme elle le souhaitait et qu’elle était bien trop jeune pour ne pas s’éclater gravement. Et elle avait décidé que puisqu’ils n’auraient pas d’enfant, il n’aurait plus jamais d’orgasme. C’est un esclave déjà brisé qui repart prendre son train le lundi matin dans une nouvelle routine qui s’installe. 
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