1. Trois et un font-ils deux ?


    Datte: 02/07/2020, Catégories: ffh, fbi, hsoumis, fdomine, Masturbation intermast, Oral 69, pénétratio, confession, couplea3, Auteur: Veilleur, Source: Revebebe

    ... fais aussi bien sinon mieux tant est grand mon désir de la reconquérir. Mes efforts sont couronnés de succès, le bassin se meut au bout de ma langue, les fesses se lèvent, le ventre est pris de tremblements et la voix de Louise chevrote pour traduire son plaisir. Elle m’appelle sur elle, elle se donne, elle se presse, elle se déchaîne, c’est comme avant Nora. Ces retrouvailles décuplent mes forces, je me surpasse, je lime, je l’expédie au septième ciel, une fois, deux fois, trois fois et aussi souvent elle clame sa satisfaction.
    
    Je trouve qu’elle en fait beaucoup. Avant Nora, elle n’avait jamais fait autant de bruit, et même avec Nora, jamais sa plainte amoureuse n’a atteint une telle intensité. Ne serait-elle pas en train d’éveiller la jalousie de son amante ? Nora s’est jetée dans les bras de Richard, Louise la punit en simulant un plaisir extrême avec moi. Parce que de mémoire de mari, c’est la première fois que Louise mène un tel tintamarre. L’excès de ses manifestations vocales jette le doute et gâche ma joie. A-t-elle joui aussi fort ou a-t-elle beaucoup simulé ? Après l’exploit, Louise nous accorde un temps de repos et de récupération, mais ne bouge plus, ne me dit plus de mots doux. Autant de gentillesse, d’amour proclamé, de gestes aimables, puis autant de froideur : c’est la douche froide.
    
    Et soudain un cri nous fait sursauter. C’est un cri reconnaissable entre tous, le cri de Nora quand elle jouit. Louise bondit, saisit sa robe et se précipite vers le ...
    ... salon. Je la rattrape tranquillement. Richard remplit son contrat, je m’en réjouis. Ma femme est plantée dans l’embrasure de la porte, les yeux exorbités. Sous ses bras, je glisse mes mains et je caresse ses seins. Dans le friselis de sa nuque, je dépose des bisous. Elle est prisonnière de mes bras et doit assister impuissante au spectacle. Sur notre canapé, Richard écrase la veuve. Elle vient de jouir, mais il continue à marteler le corps soumis. Depuis des années il vit en célibataire : l’occasion est trop belle. Il a franchi le premier pas, il n’a pas l’habitude de laisser un chantier inachevé, il a pris Nora. Celle-ci n’a pas protesté, il lui fait l’amour, il lui laissera le souvenir d’une séance exceptionnelle. Donc il lime, inlassable, plein de vitalité. Louise constate l’infidélité de l’amante, se tourne vers moi et me crache :
    
    — C’est de ta faute. Regarde ce cochon qui la bourre comme une truie. Si tu ne l’avais pas fait venir. Tu te rends compte. Lâche-moi.
    
    Richard continue bravement, descend entre les cuisses, se vautre sur le ventre, reprend de l’élan pour mieux se projeter dans cette cramouille baveuse, il se gave de la chair si douce de ses seins. Son application aboutit, au grand dam de Louise ; Nora implore, en redemande, s’écarte au maximum, enferme l’amant dans ses bras, l’embrasse comme une affamée et se contorsionne quand vient la jouissance.
    
    — Ils n’ont pas perdu de temps ronchonne Louise. Oh ! Richard, tu pourrais en garder un peu pour moi.
    
    Mais ...
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