1. Une éducation particulière (3)


    Datte: 02/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raph&clem, Source: Xstory

    ... l’avait annoncé – mais, en s’approchant, il vit la fameuse petite culotte noire coincée entre le rebord et le couvercle de la panière désolée. Cet ascenseur émotionnel inquiéta davantage son esprit troublé : « mais qu’est-ce que la culotte fait encore là ? Je l’ai mal déposée tout à l’heure ? Est-ce que maman s’en est aperçue ? Non… t’es con… sinon elle l’aurait mise à laver avec les autres ». Cette deuxième chance le réjouit tout à fait cette fois : si cette culotte propre ne voulait pas disparaître, il allait s’en saisir pour de bon.
    
    Clément se précipita dans sa chambre et prit quelques secondes pour contempler à nouveau la pièce de lingerie, savourant par avance une branlette qui s’annonçait mémorable. Bien qu’il sache le tissu propre, il ne put s’empêcher de le renifler et d’en savourer la texture contre son visage imberbe. Sans plus de cérémonie, il sortit sa queue devenue énorme et commença à s’astiquer. Les images de l’actrice de la veille ne se présentèrent pas et ce fut uniquement le gros cul de sa mère qui surgit dans son imagination. Cette évocation précise mais incomplète ralluma un sentiment de honte chez lui sans que sa rigidité ne diminue le moins du monde. Tout à coup, un déferlement de pensées refoulées s’abattit en cascade dans sa tête : il se revoyait, la veille, glisser un œil dans l’entrebâillement de la salle de bain, sa mère allongée lascivement dans son bain, les deux seins lourds émergeant au milieu de la mousse, les yeux fermés et la bouche ...
    ... pulpeuse entrouverte pendant que lui, le cœur au bord des lèvres, avait sorti sa bite qu’il agitait infiniment lentement, le plus discrètement possible, afin de ne pas se faire prendre.
    
    Cet événement avait complètement disparu de la partie consciente de son être pendant les quelques heures qui séparaient son voyeurisme de la présente branlette.
    
    A vrai dire, avant ces péripéties, Clément n’avait jamais réellement fantasmé sur sa mère. Bien entendu il voyait – d’abord dans les regards de ses propres amis, puis de manière objective – que Raphaëlle était une belle femme, mais il en avait simplement tiré une certaine vanité filiale sans que cela ne l’émeuve outre mesure. Les seuls instants qu’a posteriori il trouvait tendancieux étaient les longs câlins qu’ils avaient coutumes de se faire tous les deux et pendant lesquels il sentait les seins lourds et pleins de sa mère qui s’écrasaient contre lui.
    
    C’était désormais tout autre chose, sa mère était parfaitement double dans son esprit. D’une part, il embrassait sans réserve son statut de femme mûre et attirante, d’autre part, elle restait toujours cette mère pleine de douceur et de tendresse. Plutôt qu’une réelle opposition, ces deux profils se superposaient de manière diabolique à mesure qu’il continuait sa honteuse masturbation. La sensation de la culotte, le souvenir de la salle de bain et l’intimité ordinaire qu’il avait avec sa mère dessinèrent des fantasmes plus précis. Il adorait le cul des femmes. Il se retrouva ...
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