1. Hôtel à Saint-Brieuc


    Datte: 01/07/2020, Catégories: fh, hotel, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Auteur: Pierre Favric, Source: Revebebe

    Depuis notre rencontre, Bénédicte s’est révélée très exhibitionniste, chaude, sensuelle et provocante. J’aime la montrer et elle prend un vrai plaisir à lire l’excitation dans le regard des hommes et dans le mien.
    
    Elle a de jolies jambes découvertes par des jupes souvent très courtes, sous lesquelles elle ne porte que des bas, et parfois pas de culotte. Ses décolletés, assez vertigineux, attirent les regards. Ses seins superbes sont sa fierté et mon bonheur.
    
    Nous avions décidé d’aller passer deux jours en Bretagne, réservant un hôtel à Saint-Brieuc.
    
    Nous nous reposons quelques minutes après le déjeuner : Bénédicte s’installe sur le lit devant la télévision, pendant que je prends une douche pour me délasser du voyage.
    
    Sortant de la salle de bains, je m’allonge à côté d’elle et, sans la déshabiller, je caresse ses seins, son ventre, ses jambes. Elle ouvre les cuisses et, sous son slip déjà humide, tendu sur sa motte, je sens ses lèvres gonflées. La température monte. Je me lève pour ouvrir la fenêtre en grand.
    
    De l’autre côté de la rue, un petit immeuble nous fait face. À l’une des fenêtres située légèrement plus haut que la nôtre, j’aperçois un garçon d’une vingtaine d’années. Il est accoudé et regarde dans notre direction. Il a l’air un peu surpris de me voir nu, en pleine érection, et se retranche précipitamment derrière son rideau. Je réalise qu’il doit voir au moins la moitié inférieure de notre lit, et qu’il sait qu’une femme y est allongée.
    
    Avec un ...
    ... petit coup au cœur, je rejoins Bénédicte, ouvre son chemisier sous lequel ses seins sont nus et gobe entre mes lèvres ses tétons qui durcissent. Je descends le long de son ventre et la tète à la hauteur des cuisses ; derrière la fenêtre, en face de nous, je distingue la silhouette du garçon. Béné ne peut le voir, pas plus que lui ne peut voir autre chose que les jambes de ma compagne.
    
    Le cœur battant d’excitation, je m’agenouille au pied du lit, saisis Bénédicte par les chevilles et la tire vers moi. Comprenant que je souhaite m’occuper de sa petite chatte, elle glisse son bassin vers moi, sans pouvoir encore apercevoir notre voyeur.
    
    Je roule sa jupe, haut sur ses hanches, et la déculotte. D’un coup d’œil, je constate que notre spectateur semble très intéressé.
    
    Elle ouvre grand les cuisses et je suce longuement sa motte aux poils taillés court, passant la langue dans son sillon rose, comme elle aime ; elle me le fait savoir en gémissant. Je m’enfonce à l’entrée de son vagin béant et gluant, aspirant tantôt son jus, tantôt son clitoris dur et très long.
    
    Sachant que le garçon nous regarde et la voit se trémousser sous ma caresse, je suis au bord du plaisir, et je la suce longtemps, jusqu’à recevoir une décharge de cyprine accompagnée d’un long gémissement, lorsqu’elle jouit, arc-boutée. C’est là son premier orgasme, il est loin d’être le plus violent.
    
    Assis en tailleur, toujours au pied du lit, je l’allonge sur mes genoux, fesses tournées vers notre voyeur pour ...
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