1. Routier italien (1)


    Datte: 01/07/2020, Catégories: Gay Auteur: beauvit, Source: Xstory

    ... dressée, toute pudeur abandonnée, j’ouvris ma portière. L’homme qui s’était arrêté un moment reprit sa marche et vint à ma hauteur, côté conducteur. Nous nous sommes regardés, sans un mot. Il était encore plus beau que je ne l’avais cru, avec ses yeux d’un noir profond et sa peau brunie, paraissant environ 25 à 30 ans. Je n’osais bouger, contemplant la bosse de son entrejambe tout en continuant à me branler doucement.
    
    Se décidant, l’homme a alors baissé son pantalon. Il ne portait rien en dessous et me présentait un sexe long et fin, en semi-érection, des couilles rondes couvertes de poils noirs et un pubis orné d’une touffe épaisse et sombre. Je ne résistais pas une seconde et me penchant légèrement, je saisissais à deux mains cet objet de toutes mes convoitises, ces organes masculins si souvent admirés sur des vidéos pornographiques et que je n’avais jamais eu l’occasion de toucher sur un autre mâle que moi. Au contact son vit s’est durci rapidement, a gonflé et s’est complètement redressé. Me posant une main sur la tête, il m’a fait comprendre que je devais le sucer.
    
    Là encore, curieusement, sans aucune réticence, je me suis penché et j’ai posé mes lèvres sur son gland, doux et humide, un peu salé, mais sentant bon l’homme viril. Pendant un long moment je l’ai sucé consciencieusement, tout en me masturbant avec vigueur.
    
    L’homme a alors pris l’initiative, retirant son T-shirt et le posant sur le toit de ma voiture. Il était très poilu sur la poitrine et une raie ...
    ... de poils noirs descendait jusqu’à son pubis. Je caressais cette fourrure, si douce sous les doigts, pendant qu’il me soulevait et me tirais hors de mon véhicule. J’étais désormais exposé à tous les regards, debout sur l’aire de stationnement, en tenue d’Adam, le sexe bandé, la lune faisant ressortir la pâleur de ma peau. J’aurais dû être extrêmement gêné, me cacher derrière ma porte ouverte, chercher à réintégrer ma voiture. Eh bien non ! Complètement désinhibé, je me suis collé au corps de mon nouveau compagnon qui, tout en me triturant les fesses, m’a fait une pelle profonde et baveuse. Je le serrais très fort, frottant mon sexe contre le sien et caressant son dos musclé avec passion.
    
    S’écartant, remontant son pantalon, reprenant son T-shirt à la main, l’homme est alors reparti, me faisant signe de le suivre. Affolé de désir, ne sachant plus ce que je faisais, je l’ai suivi, comme cela, à poil, le vit en bataille, sans prendre mes clés, sans fermer ma voiture. Je l’ai rapidement rejoint et nous avons traversé une partie du parking pour rejoindre un camion italien garé de l’autre côté des toilettes. En passant devant celles-ci, j’ai aperçu plusieurs hommes qui nous regardaient, la bite à l’air, se caressant en nous fixant, l’air hagard. Mais je n’y ai pas prêté plus d’attention, ne voulant pas perdre mon partenaire et le suivant de près.
    
    Il a ouvert son camion, est monté et m’a attiré à lui. La cabine était vaste, avec une assez belle couchette derrière les sièges. Il ...