1. Proposition délicate (1)


    Datte: 30/06/2020, Catégories: Erotique, Auteur: cocolst, Source: Xstory

    ... peux pas être donneur si tu n’es pas déjà père… c’est con mais c’est comme ça.
    
    — Alors ?
    
    — Il y a un médecin qui accepterait de le faire, mais comme c’est illégal, il demande de l’argent… beaucoup d’argent.
    
    — Combien ?
    
    — 6 000.
    
    — 6 000 roubles ? Anciens francs ?
    
    — Euros.
    
    — Putain d’enfoiré de sa race.
    
    — C’est un peu ce qu’on s’est dit lorsqu’il nous l’a annoncé… on a refusé.
    
    — On va faire comment alors ?
    
    — De façon naturelle. Je crois qu’il n’y a pas d’autre solution.
    
    Moi coucher avec Aline ? Alors là, j’en reste sans voix. Ce n’est pas qu’elle n’est pas attirante ou sexy, c’est que c’est ma meilleure amie, la copine de mon meilleur ami, alors non, je n’ai jamais pensé avoir une relation sexuelle avec elle.
    
    — Hey, ne t’inquiète pas. Ce n’est pas comme si nous allions faire l’amour. Pas besoin de préliminaires ou de faire durer le plaisir. Tu me pénètres juste, tu… fais ce que tu as à faire et tu m’ensemences, c’est tout.
    
    — Oui, évidemment, mais tout de même… et toi Fred, ça ne te gêne pas ?
    
    — Aline et moi en avons beaucoup discuté. Et puis, ce n’est pas comme si elle était vierge avant que je ne la rencontre. Et si ça peut te rassurer, je ne serai pas là à vous mater.
    
    — Encore heureux. Et on fait ça quand alors ?
    
    — Dans une semaine ce sera le bon moment.
    
    — Et si ça ne fonctionne pas du premier coup ?
    
    — Chaque chose en son temps, on verra bien.
    
    Plus la date approche, plus je stresse. C’est fou, mais cela me fait ...
    ... vraiment quelque chose de penser que je vais coucher avec Aline. Et voici déjà le jour J. Elle est chez moi, allongée nue dans mon lit avec les draps qui couvrent son corps. Je n’ai pas osé la regarder se déshabiller, je n’ose toujours pas la regarder d’ailleurs.
    
    Je suis également allongé nu dans ce lit. Nous sommes l’un à côté de l’autre à regarder le plafond sans oser parler. Le temps passe, cela fait déjà plus d’une heure que nous sommes dans cette position sans bouger. Et elle rompt le silence :
    
    — Tu préfères lorsqu’il y a la lumière ?
    
    — En général oui, mais vaut mieux être dans le noir là.
    
    — Oui, je préfère aussi. Ça parait si simple sur le papier, mais en fait… peut-être qu’il faudrait qu’on fasse un peu de préliminaires finalement.
    
    — Peut-être, mais je ne suis pas certain que j’arriverai tout de même à bander. Je suis vraiment désolé.
    
    — Les filles que tu ramènes, qu’est-ce qui te fait y arriver avec elles ?
    
    — Je ne sais pas. Il n’y a pas à se poser de questions je crois. On sait que c’est juste pour de la baise alors… c’est plus simple.
    
    — T’as jamais eu de panne avec l’une d’elles ?
    
    — Si, mais ça passe vite. Il suffit que je me dise que ce n’est qu’une salope qui aime la bite et voilà…
    
    — Ok… je préfère que tu ne penses pas ça de moi en fait, mais si ça peut t’aider.
    
    — Je peux toucher tes seins ? En général ça me motive.
    
    — Oui, bien sûr.
    
    Même si sa poitrine est volumineuse comme j’aime, moelleuse et douce, rien ne se passe. C’en est ...